

CALGARY, Alb. – Hockey Canada a annoncé que dès cette semaine, tous les joueurs, entraîneurs et membres du personnel de soutien des équipes nationales de la saison 2020-2021 participeront à des séminaires virtuels obligatoires sur la diversité et l’inclusion avant le début des camps estivaux virtuels.
Les joueurs et membres du personnel devront s’inscrire à l’une des quatre séances qui se dérouleront du 13 au 16 juillet. La participation à ces séances est obligatoire pour toutes les équipes nationales de Hockey Canada, y compris les équipes masculines de moins de 17 ans, de moins de 18 ans et de moins de 20 ans, les équipes féminines de moins de 18 ans, de développement et senior, de même que l’équipe nationale de parahockey du Canada.
En tant qu’organisation qui a reconnu qu’elle devait en faire davantage, Hockey Canada demeure engagée à continuer d’écouter et d’apprendre et à rester ouverte à changer afin de prendre des mesures en matière de diversité. La formation virtuelle sur la diversité et l’inclusion s’avère une autre étape que Hockey Canada franchit pour être une chef de file en ce qui a trait à l’équité dans le sport et pour faire partie de la solution concernant la discrimination de toute sorte.
« Les séminaires obligatoires sur la diversité et l’inclusion pour les équipes nationales de Hockey Canada représentent une première étape cruciale pour rendre la communauté du hockey plus agréable, inclusive et sécuritaire pour tous ceux qui veulent participer à ce sport », a commenté Scott Salmond, premier vice-président des équipes nationales de Hockey Canada. « À mesure que la prestation de nos programmes évoluera, nous continuerons de déterminer les façons les plus appropriées d’inclure des séances obligatoires sur divers sujets. Nous croyons que ces séminaires sur la diversité et l’inclusion seront utiles pour tous les joueurs et les membres du personnel. Nous sommes prêts à apprendre sur ces sujets importants. »
Ces séminaires seront animés par Tina Varughese, une conférencière et formatrice professionnelle spécialisée dans les domaines de la diversité et de l’inclusion. Ils porteront en particulier sur les préjugés inconscients.
Varughese est une Indo-Canadienne, née de parents des Indes orientales de première génération, qui habite à Calgary. Elle a collaboré à plusieurs reprises avec le bureau de l’immigration de la province de l’Alberta. Le magazine Ignite l’a nommée parmi les 10 conférenciers dignes de mention du Canada. Elle est la présidente de t Works Inc., une entreprise spécialisée dans la présentation de séminaires sur les communications interculturelles et la conciliation travail-vie. Elle offre une formation personnalisée sur la diversité culturelle aux travailleurs des secteurs public et privé.
« Hockey Canada est chanceuse que Tina Varughese fasse quatre présentations importantes et marquantes sur les préjugés inconscients à environ 400 joueurs, entraîneurs et membres du personnel de soutien dans le cadre de la prestation des programmes de nos camps estivaux », a commenté Tom Renney, chef de la direction de Hockey Canada. « Tina sera une ressource fantastique pour tous les participants et nous pensons que nos équipes et athlètes profiteront grandement de ses connaissances et de son expertise, alors que nous continuons de travailler sur l’éducation de nos joueurs et le développement de personnes de classe mondiale. »
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NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (6 FÉVR.)
Enfin à Halifax! L’équipe nationale féminine du Canada reprend l’action contre ses rivales nord-américaines lors du premier arrêt en sol canadien de la Série de la rivalité 2024-2025 contre les États-Unis jeudi soir au Scotiabank Centre.
Le Canada a pris les devants 2-1 dans la Série de la rivalité en novembre dernier, signant une victoire de 4-1 à Boise, en Idaho. Les Canadiennes s’étaient forgé une avance tôt en première période grâce à Jocelyne Larocque et à Sarah Nurse, avant que Kristin O’Neill porte la marque à 3-0 au deuxième tiers. Les Américaines s’étaient inscrites au tableau sur l’avantage numérique en troisième, avant de voir Emily Clark riposter avec moins de quatre minutes au cadran.
La saison est maintenant bien entamée dans la Ligue professionnelle de hockey féminin (LPHF), et pas moins de trois membres de l’équipe nationale féminine du Canada trônent au sommet dans trois catégories individuelles différentes, soit le nombre de points, de buts et de mentions d’aide. Les débuts fracassants de Sarah Fillier chez les professionnelles (Sirens de New York) la placent au tout premier rang de la ligue avec une récolte de 15 points (5-10—15). La capitaine Marie-Philip Poulin (Victoire de Montréal) est la meneuse pour le nombre de buts marqués, elle qui a touché la cible 10 fois en 14 rencontres (10-2—12). Enfin, Claire Thompson (Frost du Minnesota) mène le circuit avec 10 mentions d’aide en 15 parties (4-10-14). Devant le filet, Ann-Renée Desbiens est première au classement pour le nombre de victoires (8), la moyenne de buts alloués (1,77) et le pourcentage d’arrêts (0,935).
Kendall Coyne Schofield et Taylor Heise suivent Fillier de près au classement des pointeuses du circuit. Coyne Schofield, vétérane et capitaine de l’équipe américaine, a amassé 14 points (6-8—14) en 15 parties, tandis que Heise, qui a reçu la saison dernière le trophée Ilana-Kloss de la joueuse la plus utile des séries éliminatoires, a inscrit 14 points (4-10-14) en autant de matchs. Les États-Unis ont quelque peu remanié leur formation mardi. Alex Carpenter, Gabby Rosenthal, Hayley Scamurra et Grace Zumwinkle ne sont pas en mesure de jouer et seront remplacées par Izzy Daniel, Clair DeGeorge, Maureen Murphy et Mannon McMahon.
Le duel de jeudi marquera le 100 e match à l’international pour Nurse et pour Laura Stacey. Quant à Brianne Jenner, elle n’est qu’à deux buts du plateau des 50 en carrière avec Équipe Canada. Si elle l’atteint, elle deviendra la 14 e joueuse à y arriver. Mentionnons également que Stacey et Jamie Lee Rattray sont toutes deux à cinq points du plateau des 50 en carrière.
Avec sa mention d’aide sur le premier but du Canada au troisième match de la série, Poulin a dépassé Danielle Goyette, attaquante membre du Temple de la renommée du hockey, au quatrième rang des meilleures pointeuses de l’histoire de l’équipe nationale féminine (220 points).
C’est la troisième fois que Halifax sera le théâtre de la rivalité entre les deux nations. Il s’agira d’ailleurs d’une première rencontre pour l’équipe nationale féminine en Nouvelle-Écosse depuis 2004. Rappelons que Halifax était censée accueillir le Championnat mondial féminin de l’IIHF en 2021, mais que tout avait été annulé en raison de la pandémie de COVID-19.
Le Canada avait remporté une huitième médaille d’or consécutive au Mondial féminin en vainquant les États-Unis 2-0 le 6 avril 2004 à Halifax. Après une première période sans but, Hayley Wickenheiser avait ouvert la marque après un peu plus de quatre minutes d’écoulées en période médiane, avant que Delaney Collins double la mise au début de la troisième. Fidèle à ses habitudes, la membre du Temple de la renommée Kim St-Pierre avait connu une performance étincelante devant le filet des Canadiennes, réalisant un jeu blanc de 26 arrêts.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 107-80-1 (25-20 en PROL. ou TB) Buts pour le Canada : 525 Buts pour les États-Unis : 462
NEW YORK, NY – La LNH, USA Hockey et Hockey Canada ont annoncé aujourd’hui la tenue de la toute première édition de la Classique de hockey Reeve dans le cadre d’un match qui mettra en vedette les meilleurs athlètes masculins de hockey luge qui font partie des équipes nationales de parahockey des États-Unis et du Canada. Les rivaux internationaux s’affronteront à l’aréna Kasabuski de Boston en soutien à la Fondation Christopher-et-Dana-Reeve. Les séances d’entraînement des équipes et le match seront ouverts au public, mais les places seront limitées. Les partisans pourront aussi suivre le match en direct sur USAHockeyTV.com .
Sur la scène internationale, les deux pays comptent sur de puissantes formations qui ont cumulé un nombre impressionnant de médailles. Les États-Unis ont remporté 28 médailles d’or aux Jeux paralympiques et 46 médailles d’or aux Championnats du monde. L’équipe est dirigée par le vétéran Josh Pauls et compte sur trois vétérans de l’armée américaine, dont deux ont reçu le Purple Heart. De son côté, le Canada a mis la main sur 17 médailles d’argent et trois médailles de bronze aux Jeux paralympiques, ainsi que sur 28 médailles d’or, 34 médailles d’argent et quatre médailles de bronze aux Championnats du monde. Tyler McGregor est le capitaine de l’équipe canadienne depuis maintenant six saisons. Ces deux rivaux internationaux se rendront à Boston pour un camp d’entraînement qui fera partie de leurs préparatifs en vue de leurs compétitions internationales.
La Fondation Christopher-et-Dana-Reeve , partenaire de la NHL Foundation U.S., se consacre à la guérison des lésions de la moelle épinière et à l’amélioration de la qualité de vie des personnes et des familles touchées par la paralysie. Acteur, militant, partisan de hockey et gardien de but, Christopher Reeve est paralysé depuis son accident ayant causé une grave lésion de la moelle épinière. Sa femme Dana et lui ont travaillé sans relâche afin de trouver les meilleures recherches et d’apporter leur soutien aux patients et aux familles vivant avec la paralysie. La vision de la Fondation Reeve est celle d’un monde où les lésions de la moelle épinière n’entraînent pas la paralysie, et où la paralysie n’affecte pas la qualité de vie. Les soins d’aujourd’hui, la guérison de demain. La Classique de hockey Reeve contribuera au financement de remèdes contre la paralysie. À ce jour le Centre national de ressources sur la paralysie de la Fondation Reeve a accordé 22 subventions en soutien à des programmes de hockey luge.
Pour célébrer la toute première Classique de hockey Reeve, la LNH, l’AJLNH et les Bruins de Boston organisent un événement d’essai gratuit du hockey luge qui aura lieu le 18 février à l’aréna Kasabuski. Les filles et les garçons âgés de 4 à 17 ans auront ainsi l’occasion d’essayer le hockey luge, quel que soit leur niveau d’habiletés. Cet événement est ouvert à tous et vise à inspirer les enfants à la recherche d’un nouveau parasport à pratiquer. L’équipement, l’encadrement et le soutien seront offerts par Spaulding Adaptive Sports Centers et Northeast Passage Sled Hockey. Les joueurs souhaitant essayer le hockey luge sont invités à s’inscrire ici .
Horaire
Tous les événements se dérouleront à la patinoire Kasabuski (201 Forest St, Saugus, MA 01906) et sont ouverts aux médias et au public. La capacité est limitée.
Mardi 18 février
9 h à 10 h 30 – Classique de hockey Reeve : Séance d’entraînement de l’équipe américaine
10 h 40 à 12 h 10 – Classique de hockey Reeve : Séance d’entraînement de l’équipe canadienne
12 h 15 à 14 h 00 – Événement « Essayez le hockey luge gratuitement »
Mercredi 19 février
18 h à 21 h – Présence de la Coupe Stanley et occasion photo
18 h à 20 h 30 – Classique de hockey Reeve
La Classique de hockey Reeve fait partie d’un engagement de longue date à appuyer le parahockey dans toutes ses formes par la LNH, l’AJLNH et les 32 clubs du circuit. La Ligue a été un partenaire présentateur de longe date de la Classique de hockey luge de USA Hockey . Plus récemment, la LNH a annoncé un partenariat avec le Warrior 4 Life Fund , un soutien financier pour trois programmes de hockey adapté avec les Islanders de New York, et à la croissance du hockey luge et du hockey adapté avec les Hurricanes de la Caroline. De plus, le Fonds de croissance de l’industrie de la LNH/AJLNH a aidé des programmes d’aprentissage de hockey luge dans des marchés de la LNH, notamment à Tampa Bay et à Calgary.
CALGARY, Alberta – Hockey Canada, en partenariat avec la Ligue nationale de hockey (LNH) et l’Association des joueurs de la Ligue nationale de hockey (AJLNH), a annoncé que Sidney Crosby (Cole Harbour, NS/Pittsburgh, LNH) sera le capitaine d’Équipe Canada à la Confrontation des 4 nations 2025, qui aura lieu du 12 au 20 février à Montréal, au Québec, et à Boston, au Massachusetts.
Connor McDavid (Newmarket, ON/Edmonton, LNH) et Cale Makar (Calgary, AB/Colorado, LNH) appuieront Crosby dans un rôle de capitaine adjoint.
« Je suis reconnaissant de cette occasion de jouer à nouveau pour le Canada sur la scène internationale, et c’est un honneur d’être nommé capitaine pour la Confrontation des 4 nations au sein d’une équipe avec autant de bons joueurs qui sont des leaders de leur club dans la LNH, a déclaré Crosby. J’ai hâte de faire partie du groupe de meneurs avec Connor et Cale, qui sont d’excellents leaders. Toute l’équipe a hâte d’enfiler l’uniforme d’Équipe Canada et d’amorcer la Confrontation des 4 nations devant une foule canadienne. »
« Sidney, Connor et Cale possèdent tous les trois des qualités de leader exceptionnelles, sont déterminés à exceller et ont soif de gagner », a exprimé l’entraîneur-chef Jon Cooper (Prince George, BC/Tampa Bay, LNH). « Nous sommes chanceux de pouvoir profiter d’un niveau de leadership aussi élevé. Ces joueurs mèneront le Canada avec fierté dans la quête de notre objectif ultime, soit de remporter la Confrontation des 4 nations. »
Le Canada amorcera le tournoi contre la Suède le 12 février au Centre Bell à Montréal (20 h HE / 17 h HP). L’équipe croisera ensuite le fer avec les États-Unis le 15 février à Montréal (20 h HE / 17 h HP) et avec la Finlande le 17 février au TD Garden de Boston (13 h HE / 10 h HP). Le match de championnat viendra clore le tournoi le 20 février à Boston (20 h HE / 17 h HP).
Pour en savoir plus sur la Confrontation des 4 nations 2025, veuillez visiter la page officielle du tournoi.
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Depuis que les Falcons de Winnipeg ont représenté le Canada aux Jeux olympiques d’été de 1920, les équipes canadiennes évoluant sur la scène internationale ont porté des chandails qui se voulaient un hommage à notre pays, à ses provinces et à ses villes, de même qu’aux Forces armées et à différentes organisations, sans oublier les partisans et partisanes.
Mais quel chandail est le plus beau?
C’est ce que nous voulons savoir… et nous avons besoin de votre aide!
Nous avons sélectionné 16 de nos looks préférés d’Équipe Canada; au cours des trois prochaines semaines, nous vous donnons l’occasion de voter pour ceux que vous aimez le plus sur X, Facebook et en Story Instagram .
Les 16 chandails sont ceux des équipes ou événements suivants :
• Jeux olympiques d’hiver de 1952 (Mercurys d’Edmonton) • Équipe nationale masculine 1961 (Smoke Eaters de Trail) • Jeux olympiques d’hiver de 1980 • Équipe nationale junior 1982 • Coupe Canada 1987 • Équipe nationale féminine 1992 • Équipe nationale masculine 1994 • Équipe nationale junior 1995 • Équipes nationales 1998-1999 • Jeux olympiques d’hiver de 2002 • Jeux olympiques d’hiver de 2002 – 3 e chandail • Jeux olympiques d’hiver de 2010 • Équipes nationales 2008-2015 • Équipes nationales 2014-2015 (100 e anniversaire) • Équipes nationales 2015-2025 • Équipes nationales 2021-2025 (chandail unifolié)
Les votes seront compilés sur l’ensemble des plateformes, donc si un chandail obtient un plus haut pourcentage de votes sur une plateforme, cela ne veut pas dire qu’il aura le plus haut total de votes. Consultez le tableau du haut de cette page – il sera mis à jour après chaque duel.
Les duels de la première ronde dureront 24 heures. Les quarts de finale et les demi-finales seront d’une durée de 48 heures et la finale, d’une durée de 72 heures, ce qui nous mènera au couronnement du plus beau look de l’histoire d’Équipe Canada.
Première ronde • 23 janvier • 24 janvier • 25 janvier • 26 janvier • 27 janvier • 28 janvier • 29 janvier • 30 janvier
Quarts de finale • 31 janvier – 1 er février • 2-3 février • 4-5 février • 6-7 février
Demi-finales • 8-9 février • 10-11 février
Finale • 12-14 février
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a annoncé l’identité des 25 joueuses nommées à l’équipe nationale féminine du Canada pour le volet canadien de Série de la rivalité 2024-2025, qui s’amorcera le 6 février à Halifax, en Nouvelle-Écosse, pour ensuite se conclure le 8 février à Summerside, à l’Île-du-Prince-Édouard.
Trois gardiennes de but, huit défenseures et quatorze avants ont été choisies par la directrice générale Gina Kingsbury (Rouyn-Noranda, QC/Toronto, LPHF), l’entraîneur-chef Troy Ryan (Spryfield, NS/Toronto, LPHF) et la première responsable du développement des joueuses et du dépistage Cherie Piper (Scarborough, ON). Les entraîneuses adjointes Kori Cheverie (New Glasgow, NS/Montréal, LPHF), Caroline Ouellette (Montréal, QC/Université Concordia, RSEQ) et Britni Smith (Port Perry, ON/Université de Syracuse, CHA), de même que le consultant des gardiennes de but Brad Kirkwood (Calgary, AB/Toronto, LPHF), ont aussi contribué aux sélections.
« Nous sommes ravis du groupe de joueuses que nous avons réuni pour ces deux derniers duels contre les Américaines, a déclaré Kingsbury. Ce sera une autre occasion d’évaluer la profondeur de notre programme en vue du Championnat mondial féminin en avril. C’est un grand plaisir pour nous de rendre visite à deux communautés passionnées de hockey pour y rencontrer les amateurs et amatrices et faire rayonner le hockey féminin à Halifax et à Summerside. »
La liste de joueuses en comprend 21 qui ont représenté le Canada lors des trois premiers matchs aux États-Unis en novembre (Ambrose, Bell, Clark, Desbiens, Fast, Fillier, Gosling, Jenner, Larocque, Maltais, Maschmeyer, Nurse, O’Neill, Poulin, Rattray, Serdachny, Shelton, Stacey, Thompson, Turnbull, Watts).
Jusqu’à présent dans cette édition de la Série de la rivalité, le Canada a eu gain de cause deux fois et a concédé une rencontre aux États-Unis. Il a remporté deux victoires de suite (par des pointages de 5-4 et 4-1) après avoir perdu le premier affrontement au sud de la frontière. Les Canadiennes détiennent l’avantage 17-14 sur les Américaines depuis la création de la Série de la rivalité en 2018-2019.
TSN et RDS, partenaires officiels de diffusion de Hockey Canada, présenteront les deux rencontres de la Série de la rivalité. Veuillez consulter votre programmation locale pour plus de détails. Les membres des médias qui souhaitent assister à la partie à Halifax ou à celle de Summerside doivent remplir la demande d’accréditation en ligne.
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VANTAA, Finlande – L’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada a gagné la médaille d’or au Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF en blanchissant les États-Unis par un pointage de 3-0 dimanche au Tikkurila Arena. Il s’agit de la huitième médaille d’or pour le Canada au Mondial féminin des M18 (2010, 2012, 2013, 2014, 2019, 2022, 2023, 2025). À la suite d’une première période où aucun but n’a été inscrit, Caileigh Tiller (St. Catharines, ON/Burlington, M22 élite de l’OWHA) a brisé la glace en avantage numérique après un peu plus de huit minutes de jeu au deuxième tiers. Dorothy Copetti (Toronto, ON/Durham West, M22 élite de l’OWHA) a ajouté un but d’assurance à mi-chemin de la troisième période avant que Stryker Zablocki (Prince Albert, SK/Selects de Bishop Kearney, USHS) complète la marque dans un filet désert à moins de deux minutes de la fin de la rencontre. Sydney Sawyer (Burketon, ON/Etobicoke, M22 élite de l’OWHA) a récolté deux aides, tandis que Danica Maynard (Osoyoos, BC/RHA Kelowna, CSSHL) et Alex Therien (Ottawa, ON/Nepean, M22 élite de l’OWHA) ont obtenu une aide chacune. Les Canadiennes ont dominé les Américaines 30-14 au chapitre des tirs au but. « Ce fut une expérience incroyable, et c’est un plaisir de la partager avec notre personnel fantastique. Je suis tellement contente et fière de tout le monde dans l’équipe », a affirmé l’entraîneuse-chef Vicky Sunohara (Scarborough, ON/Université de Toronto, SUO). « Nous avions parlé de nous améliorer d’un pour cent chaque jour, et l’équipe a relevé le défi avec brio. Les joueuses voulaient devenir meilleures et mieux se soutenir entre elles chaque jour. Tout au long du tournoi, l’équipe en entier a mis l’épaule à la roue. » Marilou Grenier (Québec, QC/Limoilou, RSEQ) a bloqué 14 tirs pour décrocher une quatrième victoire en autant de départs. Elle a conservé une moyenne de buts alloués de 1,00 et un pourcentage d’arrêts de 0,935 dans le tournoi, en plus de réussir deux jeux blancs. Après le match pour la médaille d’or, la capitaine canadienne Chloe Primerano (North Vancouver, BC/Université du Minnesota, WCHA) a été nommée Meilleure défenseure pour une seconde année consécutive. En outre, elle se joint à Zablocki – qui a mené le tournoi pour le nombre de buts (8) et de points (12) – parmi l’équipe des étoiles des médias. Primerano a accumulé 26 points (12-14—26) en deux participations au Mondial féminin des M18, égalant ainsi Marie-Philip Poulin pour le plus haut total par une Canadienne au tournoi. Lors de la victoire en demi-finale de samedi contre la Tchéquie, elle a surpassé Caitlin Kraemer à titre de meilleure pointeuse de tous les temps au sein de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada; Primerano conclut sa carrière chez les M18 avec 37 points (18-19—37) en 21 matchs. Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada, veuillez consulter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux sur Facebook, X, Instagram et TikTok, et utiliser le mot-clic #MondialFémininM18.
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (12 JANV.)
À une seule victoire de remporter un huitième titre mondial, l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada a rendez-vous avec les États-Unis dimanche au match pour la médaille d’or du Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF.
Dernier match de chaque équipe
La victoire des Canadiennes en demi-finale, 4-2 contre la Tchéquie, a eu une saveur de revanche pour elles, un an après avoir plié l’échine par le même pointage, également en demi-finale. Stryker Zablocki a poursuivi sur son excellente lancée, obtenant un but et une aide, comme Caileigh Tiller. Marilou Grenier a réalisé 19 arrêts, tandis que Chloe Primerano a récolté deux aides, ce qui lui a permis de devenir la meilleure pointeuse de l’histoire de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans.
Les Américaines ont eu la frousse face aux Suédoises dans l’autre demi-finale samedi, l’emportant par un pointage serré de 2-1 pour passer en finale. Les championnes du monde en titre ont profité d’une deuxième période de deux buts de la capitaine Anabella Fanale et de 17 arrêts de Morgan Stickney pour permettre aux États-Unis de passer au match pour la médaille d’or pour une 16 e fois.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les Canadiennes ont affronté les Américaines lors d’une série estivale de trois matchs à Thorold, en Ontario, au mois d’août dernier, et elles ont gagné deux des trois affrontements. Lors de la troisième et dernière partie, Stryker Zablocki a envoyé tout le monde en prolongation en touchant la cible avec seulement 58 secondes à jouer en troisième période, mais à la suite d’une séance de tirs de barrage de sept rondes, les États-Unis ont signé une victoire de 4-3.
Le dernier duel entre les deux rivales au Mondial féminin des M18 a eu lieu en ronde préliminaire du tournoi de 2023, à Östersund, en Suède. Caitlin Kraemer a marqué deux fois, Emma Pais a récolté un but et une aide, et les Canadiennes ont limité les États-Unis à seulement 11 tirs au but dans une victoire de 3-1 qui a couronné un tour préliminaire parfait.
À surveiller
Bien que cet espace soit généralement réservé aux prouesses individuelles, il serait regrettable de ne pas souligner l’effort complet du Canada qui lui a permis de faire un retour au match pour la médaille d’or. Après trois victoires au tour préliminaire et deux gains en ronde éliminatoire, les Canadiennes ont marqué le plus grand nombre de buts (37), pris le plus grand nombre de tirs (250) et accordé le plus faible nombre de tirs (63), tout en ayant le meilleur jeu de puissance (45 %) et le meilleur taux d’efficacité en désavantage numérique (94,7 %) du tournoi. Les 20 patineuses de l’équipe ont obtenu au moins un point, et trois des quatre meilleures pointeuses du tournoi portent la feuille d'érable – Zablocki (7-4—11), Primerano (4-6—10) et Maxine Cimoroni (4-6—10). Les gardiennes de but ont bien paru aussi – Grenier a un pourcentage d’arrêts de 0,917 en trois départs, tandis qu’Amelia Wilkinson n’a accordé qu’un seul but en 120 minutes, avec une moyenne de buts alloués de 0,50 et un pourcentage d’arrêts de 0,933.
Les Américaines ont été très hermétiques en défense. Elles n’ont toujours pas accordé un but à 5 contre 5 et n’ont cédé que deux fois (en désavantage numérique) en cinq rencontres. Quelle est la principale raison de leurs prouesses en défensive? Elles n’accordent pas beaucoup de tirs. Elles n’en ont concédé que 64, et le total de 18 tirs reçus contre la Suède représente le plus haut en un match au tournoi. Morgan Stickney a été employée lors de chaque seconde jusqu’à présent, présentant une minuscule moyenne de buts alloués de 0,40 et un pourcentage d’arrêts de 0,969, signant trois jeux blancs. Fanale (5-4—9) et Mary Derrenbacher (2-6—8) ont pris les choses en main en attaque. Il ne faut pas oublier l’expérience au sein de l’équipe non plus; les États-Unis comptent huit joueuses – Derrenbacher, Fanale, Caroline Averill, Margaret Averill, Haley Box, Natalia Dilbone, Megan Healy et Macy Rasmussen – qui faisaient partie de l’équipe qui a vaincu la Tchéquie 5-1 pour gagner l’or il y a un an à Zoug.
Rétrospective
Si on inclut la série estivale, le Canada et les États-Unis ont croisé le fer à 68 reprises depuis la création du programme des M18 en 2007. Les Canadiennes ont un léger avantage de 38-30, tandis que les Américaines ont remporté 13 des 22 derniers duels au Mondial féminin des M18.
Mais l’histoire nous révèle qu’on est en droit de s’attendre à un match serré; des 22 affrontements au championnat mondial, 10 ont nécessité la tenue d’une prolongation et trois autres ont terminé avec un écart d’un but en temps réglementaire. Le Canada a remporté sa première médaille d’or en prolongation; l’actuelle entraîneuse adjointe du Kraken de Seattle, Jessica Campbell, a joué les héroïnes en 2010 en marquant le but de la victoire qui a permis aux Canadiennes de monter sur la plus haute marche du podium à Chicago.
Fiche de tous les temps : les États-Unis mènent 13-9 (6-4 en prolongation/tirs de barrage) Buts pour le Canada : 48 Buts pour les États-Unis : 62
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. TCHÉQUIE (11 JANV.)
Après une victoire historique en quart de finale, l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada se mesure à une rivale bien connue en demi-finale du Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF, où elle affrontera la Tchéquie samedi.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a marqué très tôt et très souvent jeudi, inscrivant sept buts dans chacune des deux premières périodes en route vers une victoire de 17-0 sur le Japon et égalant son record pour le nombre de buts en un seul match. Au cours des 16 premières éditions du tournoi, il n’est arrivé qu’à six occasions qu’une patineuse canadienne récolte cinq points dans un match. Pas moins de quatre joueuses l’ont fait contre les Japonaises, soit Stryker Zablocki (3-2—5), Maxine Cimoroni (3-2—5), Chloe Primerano (2-3—5) et Caileigh Tiller (2-3—5). Le Canada a fait mouche lors de ses quatre jeux de puissance, égalant le record du tournoi pour le nombre de buts en supériorité numérique dans un match, et a bombardé son adversaire de 76 tirs, contre 4 pour le Japon.
Les Tchèques ont accédé au carré d’as en blanchissant la Finlande au compte de 6-0 jeudi. Adela Fromova, Viktorie Jilkova, Dana Brezinova et Magdalena Felcmanova ont récolté un but et une aide chacune pour la Tchéquie, tandis que Daniela Novakova a repoussé les 18 tirs dirigés vers elle pour signer le jeu blanc.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les Canadiennes et les Tchèques se sont affrontées en fin de ronde préliminaire mardi, et la délégation canadienne s’est emparée de la première place du groupe B grâce à un gain de 5-0. Zablocki a mené la charge avec deux buts, Sydney Sawyer a inscrit un but et une aide, et Kate Viel a récolté deux mentions d’aide. Marilou Grenier a réussi le jeu blanc en bloquant 20 tirs, dont la moitié en troisième période.
À surveiller
Quelques autres records étant accessibles à Primerano, gardons les yeux sur la capitaine du Canada. Rappelons que la joueuse de North Vancouver, en Colombie-Britannique, est devenue plus tôt dans le tournoi la défenseure avec le plus haut total de points dans l’histoire du Mondial féminin des M18. Quelques autres marques importantes sont maintenant à sa portée. Avec ses cinq points contre les Japonaises (dont quatre au premier tiers, soit la cinquième période de quatre points pour une même joueuse dans l’histoire du tournoi), Primerano n’est qu’à un point de devenir la meilleure pointeuse de l’histoire de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans (elle est actuellement à égalité avec Caitlin Kraemer) et à trois points de dépasser l’incontournable Marie-Philip Poulin en tant que meilleure marqueuse canadienne de l’histoire du tournoi. Elle pourrait également surpasser Erin Ambrose pour le plus grand nombre d’aides dans l’histoire d’Équipe Canada (il lui en faut cinq). En bref, la routine pour Primerano depuis son entrée sur la scène internationale.
Mais les Tchèques souhaitent écrire une autre page d’histoire. Il y a un an, en demi-finale, les Tchèques avaient surpris la formation canadienne, qui avait pourtant brillé jusque-là; après avoir dominé ses adversaires 36-1 en quatre matchs, le Canada s’était incliné 4-2 face à la Tchéquie dans ce qui allait être l’une des plus grandes surprises de l’histoire du tournoi. Douze mois plus tard, 11 joueuses ayant participé à cette victoire sont de retour dans la délégation tchèque, bien que les trois joueuses qui avaient marqué lors du match et la gardienne de but Aneta Senkova (qui avait offert une performance remarquable de 45 arrêts) n’y sont pas cette année. La Tchéquie a atteint le carré d’as grâce à une offensive bien répartie en ses rangs. En effet, aucune joueuse n’a plus de quatre points, et neuf en ont au moins trois. Novakova ne chôme assurément pas devant le filet, ayant disputé chaque seconde de jeu pour les Tchèques. Elle présente une moyenne de buts alloués de 2,24 et un pourcentage d’arrêts de 0,919.
Rétrospective
Nous en serons au dixième duel entre les Canadiennes et les Tchèques. Huit des neuf rencontres précédentes ont été à l’avantage du Canada, qui domine la Tchéquie 65-9 au chapitre des buts marqués. Le seul revers était en demi-finale à Zoug l’an dernier.
Deux futures médaillées d’or olympiques s’étaient illustrées lors du premier affrontement de l’édition inaugurale du Mondial féminin des M18 : Marie-Philip Poulin et Natalie Spooner avaient chacune réussi un tour du chapeau dans un triomphe de 11-2 du Canada à Calgary. Poulin avait obtenu cinq points dans cette victoire, ce qui demeure l’une des six fois seulement où une Canadienne a atteint ce plateau dans l’histoire du tournoi.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 8-1 Buts pour le Canada : 65 Buts pour la Tchéquie : 9
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. JAPON (9 JANV.)
L’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada amorce la ronde éliminatoire du Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF jeudi contre le Japon en quart de finale.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a conclu une ronde préliminaire parfaite en prenant la mesure de la Tchéquie au compte de 5-0 mardi. Stryker Zablocki a sonné la charge avec deux buts, Sydney Sawyer a récolté un but et une aide, et Marilou Grenier a repoussé 20 rondelles pour signer le jeu blanc. Chloe Primerano a écrit une autre page d’histoire dans la victoire : avec sa mention d’aide sur le deuxième but de Zablocki, la capitaine du Canada est devenue la défenseure avec le plus haut total de points dans l’histoire du Mondial féminin des M18 (19 points).
Les Japonaises ont subi un revers crève-cœur de 5-4 à leur dernier match de la phase préliminaire face aux Suédoises mardi. Koko Ruike et Nanaho Yamaguchi ont récolté un but et une aide chacune pour le Japon, qui a eu des avances de 3-1 en début de deuxième période et de 4-3 avec huit minutes à jouer sans trouver le moyen d’obtenir un premier gain au tournoi.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les Canadiennes et les Japonaises ne se sont affrontées qu’une seule fois au Mondial féminin des M18, lors du match d’ouverture du tournoi de 2014 à Budapest. Victoria Bach avait récolté deux buts et une aide, Sarah Potomak avait marqué une fois et participé à deux buts, et Lauren Wildfang avait accumulé trois aides pour les Canadiennes, qui avaient bombardé les Japonaises de 65 tirs contre 22 dans un triomphe de 7-1.
À surveiller
Zablocki a marqué trois buts en autant de matchs en ronde préliminaire, reprenant là où elle avait laissé il y a un an à Zoug, où elle a récolté sept points (2-5—7) en six parties au sein du contingent canadien qui a remporté une médaille de bronze. Entre les deux tournois, elle a accompli de grandes choses en 2024. L’athlète de Prince Albert a été nommée Joueuse par excellence de la Coupe Esso, terminant à égalité au sommet des meilleures pointeuses de la compétition avec 11 points (8-3—11) en sept rencontres pour mener les Rebels de Regina à leur premier titre national. De plus, elle a été nommée Meilleure avant du Championnat national féminin des M18, forte d’une récolte de cinq points (3-2—5) en six affrontements pour mener la Saskatchewan jusqu’au match pour la médaille de bronze.
Un vent de jeunesse souffle sur la formation japonaise, dont la moyenne d’âge est la moins élevée parmi toutes les équipes au tournoi à Vantaa. Seules deux joueuses – la gardienne de but Haruka Kuromaru et l’attaquante Hina Fukuyama – en sont à leur dernière année d’admissibilité chez les moins de 18 ans, ce qui signifie qu’un nombre impressionnant de 21 joueuses pourraient revenir en 2026 (en comparaison, le Canada en compte 15 qui terminent leur parcours dans ce groupe d’âge). L’offensive de la troupe asiatique a été plutôt timide; seulement six buts ont été inscrits en trois parties, dont quatre contre la Suède (et trois de ces buts ont été marqués en un plus de six minutes en fin de première période et au début du deuxième engagement). Nana Akimoto, l’une des 11 joueuses de 15 ans du Japon, a été la seule patineuse à toucher la cible plus d’une fois (avec deux filets).
Rétrospective
Comme indiqué précédemment, il n’y a eu qu’une seule rencontre entre les deux pays, il y a 11 ans, en Hongrie.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 1-0 Buts pour le Canada : 7 Buts pour le Japon : 1
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. TCHÉQUIE (7 JANV.)
L’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada conclut sa ronde préliminaire mardi au Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF avec un duel contre la Tchéquie où la première place du groupe B sera à l’enjeu.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a porté sa fiche à deux victoires en autant de jours dimanche grâce à un gain de 5-1 contre la Suisse. Dorothy Copetti a mené l’offensive avec deux buts pour les Canadiennes, qui ont pris les commandes de la rencontre en marquant quatre fois en deuxième période. Sara Manness a connu une deuxième performance de deux points de suite en récoltant un but et une aide, et Maxine Cimoroni a ajouté deux aides. Chloe Primerano a compté son deuxième but du tournoi, rejoignant ainsi Jincy Dunne et Brigette Lacquette parmi les défenseures ayant inscrit le plus de buts dans l’histoire du Mondial féminin des M18.
Les Tchèques sont demeurées invaincues en doublant la Slovaquie 6-3 au pointage dimanche. Linda Vocetkova a frappé deux fois au premier engagement – sur deux des 23 tirs de la Tchéquie décochés pendant la période initiale –, tandis que Barbora Proskova a obtenu un but et deux aides pour aider les Tchèques à effacer un déficit de 3-2 au deuxième tiers.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les Canadiennes et les Tchèques ont croisé le fer l’année dernière en demi-finale à Zoug, et la Tchéquie avait causé la surprise en l’emportant 4-2, un premier gain sur le Canada au hockey féminin international, toutes catégories confondues. Primerano et Stryker Zablocki avaient marqué pour permettre aux Canadiennes de combler un déficit de deux buts en début de troisième période, mais ce fut tout pour la délégation canadienne, qui avait amorcé le match avec une fiche parfaite et une domination de 35-1 sur ses adversaires dans la colonne des buts et qui allait ainsi manquer le match pour la médaille d’or pour la première fois de son histoire.
À surveiller
Sara Manness joue du hockey de haut niveau sur le premier trio du Canada, elle qui affiche un but et trois aides après deux matchs, ce qui la place au deuxième rang parmi les meilleures pointeuses du tournoi, aux côtés de sa compagne Maxine Cimoroni. Joueuse par excellence du Championnat national féminin des moins de 18 ans 2023, Manness prend toutes ses aises sur la scène internationale à Vantaa. Avant le tournoi en Finlande, elle ne comptait que six points en 14 parties pour le Canada, mais elle a amassé une aide dans le gain en match préparatoire contre le pays hôte, deux aides dans la victoire en lever de rideau contre la Slovaquie et un but et une aide contre les Suisses. Et le tout en compagnie de Kate, sa sœur jumelle. Les sœurs sont la cinquième paire issue de la même famille immédiate à représenter le Canada au Mondial féminin des M18, mais les premières à le faire en même temps.
Du côté des Tchèques, c’est Julia Jebouskova qui a pris les choses en main à l’attaque. La joueuse de 16 ans, qui avait été écartée de la feuille de pointage au fil de ses six matchs du Mondial féminin des M18 l’année dernière, a marqué le but gagnant en prolongation lors du premier match du tournoi contre la Suisse, avant d’inscrire un but et une aide pour permettre à la Tchéquie de creuser l’écart contre la Slovaquie dimanche. Jebouskova fait flèche de tout bois cette saison au sein du programme des M19 à Shattuck-St. Mary’s, au Minnesota, forte d’un total de 22 buts (et de 12 aides) en 25 rencontres.
Rétrospective
Nous en serons au neuvième duel entre les Canadiennes et les Tchèques. Sept des huit rencontres précédentes ont été à l’avantage du Canada, qui domine la Tchéquie 60-9 au chapitre des buts marqués.
Deux futures médaillées d’or olympiques s’étaient illustrées lors du premier affrontement de l’édition inaugurale du Mondial féminin des M18 : Marie-Philip Poulin et Natalie Spooner avaient chacune réussi un tour du chapeau dans un triomphe de 11-2 du Canada à Calgary. Poulin avait obtenu cinq points dans cette victoire, ce qui demeure l’une des cinq fois seulement où une Canadienne a atteint ce plateau dans l’histoire du tournoi.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 7-1 Buts pour le Canada : 60 Buts pour la Tchéquie : 9
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