Un début d’année faste pour le Québec au hockey
En ce jour de Fête nationale du Québec, soulignons quelques moments de personnalités québécoises gravitant dans le monde du hockey qui ont marqué la première moitié de l’année 2022
Bonne Saint-Jean tout le monde!
Avant ou après une bonne poutine au dîner et les feux d’artifice en soirée, prenons le temps aujourd’hui pour revenir sur des exploits accomplis par des personnalités québécoises qui ont brillé à l’échelle provinciale, nationale ou internationale depuis le début de l’année!
ÉQUIPE NATIONALE FÉMININE
Commençons par l’équipe qui a ramené l’une des quatre médailles d’or aux Jeux olympiques d’hiver de 2022 à Beijing. Marie-Philip Poulin a de nouveau mené la charge en inscrivant six buts et 11 passes en sept parties, dont une performance de trois points lors du match pour la médaille d’or face aux États-Unis. Notons aussi la superbe tenue d’Ann-Renée Desbiens devant le filet, comme en témoignent sa moyenne de buts alloués de 1,80 et son pourcentage d’arrêts de 0,940 en cinq rencontres.
Qui d'autre? La capitaine frappe encore dans une grande finale! 💪 @pou29 | #ÉquipeCanada | #Beijing2022 pic.twitter.com/8tbzyRx353
— Hockey Canada FR (@HockeyCanada_fr) February 17, 2022
Quelques mois plus tôt, Mélodie Daoust a mené le Canada vers un 11 e titre au Championnat mondial féminin en obtenant six buts et autant de mentions d’aide en sept parties. En plus d’être sélectionnée à l’équipe d’étoiles du tournoi, Daoust a aussi été nommée Joueuse par excellence de la compétition.
Plus récemment, Alexia Aubin et Karel Préfontaine ont contribué à la conquête de la médaille d’or au Championnat mondial féminin des M18. Aubin a terminé à égalité au premier rang des meilleures pointeuses de son équipe avec cinq points, tandis que Préfontaine en a obtenu quatre.
ÉQUIPE NATIONALE MASCULINE
En ce qui concerne l’équipe qui a participé au Championnat mondial masculin présenté en Finlande, elle était menée par Thomas Chabot qui avait été nommé capitaine de la formation. Pierre-Luc Dubois, l’un des capitaines adjoints, a conclu le tournoi parmi les meilleurs pointeurs grâce à ses sept buts et six passes.
Belle manoeuvre de @18Dubois dans l'enclave. 👌#MondialIIHFpic.twitter.com/yfjNbGGEuX
— Hockey Canada FR (@HockeyCanada_fr) May 24, 2022
À Beijing, lors des Jeux olympiques, Maxim Noreau et David Desharnais ont été des éléments clés de la formation canadienne. Noreau a terminé la compétition avec une récolte d’un but et trois mentions d’aide , alors que Desharnais a obtenu une passe.
ÉQUIPE NATIONALE PARALYMPIQUE
Lors du tournoi de parahockey aux Jeux paralympiques, Antoine Lehoux a obtenu une mention d’aide. Le joueur de 28 ans en était à une première participation aux Jeux puisqu’il n’avait pas été sélectionné en 2018.
Dominic Larocque a obtenu deux jeux blancs - dont un partagé - en quatre rencontres. Il s’agissait d’une la troisième présence aux Jeux paralympiques pour le gardien de but.
On ❤️ les gardiens de but et leur univers!@TheRock_26_, de l’ENP, présente les options d’équipement qui s’offrent aux gardiens de but au parahockey. Il précise aussi ce qui distingue les portiers canadiens de ceux d’autres pays.#NotreSportEstDeRetour | @HockeyQuebec pic.twitter.com/20MUGlYOXV
— Hockey Canada FR (@HockeyCanada_fr) November 17, 2021
CHAMPIONNATS NATIONAUX
À la Coupe TELUS, les Cantonniers de Magog se sont rendus jusqu’en finale du tournoi à Okotoks, en Alberta . Tirant de l’arrière par deux buts contre les Flyers de Moncton dans les dernières minutes du match, la formation du Québec est parvenue à créer l’égalité alors qu’il ne restait que quelques secondes à jouer au temps réglementaire. La prolongation s’est toutefois soldée par un revers pour les hommes de Stéphane Robidas.
Du côté de la Coupe du Centenaire, présentée par Tim Hortons, le Collège Français de Longueuil a accédé aux demi-finales avant de s’incliner face aux Bandits de Brooks qui allaient éventuellement remporter les grands honneurs de ce tournoi de hockey junior A, qui a eu lieu à Estevan, en Saskatchewan.
Merci, @cflongueuilaaa! ❤️#CoupeDuCentenaire | @timhortonsqc | @cjhlhockey | @LHJAAAQ1 pic.twitter.com/a4xr7tF7X6
— Hockey Canada FR (@HockeyCanada_fr) May 29, 2022
Enfin, les Remparts du Richelieu ont représenté le Québec à la Coupe Esso . La formation n’a toutefois pas été en mesure de se qualifier pour le tour éliminatoire.
LAURÉATS ET LAURÉATES DE TROPHÉES
Plusieurs personnalités québécoises ont été récompensées pour leurs efforts dans le monde du hockey.
Pierre Verville a remporté le prix du Bénévole de l’année après avoir été un administrateur à la Fédération québécoise de hockey sur glace (FQHG) pendant plus de 50 ans.
Prix du bénévole de l'année : Pierre Verville Membre fondateur de @HockeyQuebec, Pierre a consacré plus de 50 ans au hockey à titre d’administrateur auprès de sa division membre. Merci, Pierre! 👏 INFOS ➡️ https://t.co/g5h0A73byx pic.twitter.com/sC7ZI794Lk
— Hockey Canada FR (@HockeyCanada_fr) June 10, 2022
Joël Bouchard s’est vu décerner le prix Gordon-Juckes remis à une personne qui a contribué de façon marquée au développement du hockey amateur au Canada, à l’échelle nationale.
Mélodie Daoust a remporté le prix Isobel-Gathorne-Hardy qui récompense une personne qui s’est démarquée par son engagement, son leadership, sa participation communautaire et sa promotion des valeurs du hockey féminin.
N’oublions pas non plus Patrice Bergeron qui a mis la main sur le trophée Frank-J-Selke pour la cinquième fois de sa carrière, ce qui constitue un record. Cet honneur est remis annuellement au meilleur attaquant défensif de la LNH.
OFFICIELS ET OFFICIELLES
Élizabeth Mantha est devenue la première femme à arbitrer un match de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) le 26 février dernier. Quelques mois plus tôt, l’arbitre de 31 ans avait fait partie d’un groupe de 10 femmes qui ont été affectées à des matchs de la Ligue américaine de hockey (AHL). Au cours de sa saison, Mantha s’est aussi rendue aux Jeux olympiques d’hiver et a d’ailleurs été nommée l’une des deux arbitres en vue du match pour la médaille de bronze.
Olivier Gouin a pris part à ses deuxièmes Jeux en tant qu’arbitre, se rendant lui aussi jusqu’au match pour la médaille de bronze.
UNE PORTION D’UN MATCH MONDIAL EN SOL QUÉBÉCOIS
Le 6 mars dernier, du côté de la Place Bell à Laval, a eu lieu le volet canadien du Match mondial de hockey féminin . La rencontre a opposé les Remparts du Richelieu aux Amazones de Laval-Montréal et s’est terminée par un verdict nul de 4 à 4.
Le volet canadien du Match mondial de hockey féminin de l’IIHF, présenté par @BFLCanada, a lieu aujourd’hui! 🇨🇦 Un duel Remparts du Richelieu c. Amazones de Laval-Montréal contribuera au pointage mondial. 🙌 Détails ➡️ https://t.co/EYSESG526l @HockeyQuebec | @LHEQ_hockey pic.twitter.com/Wxc5ZLEoZ1
— Hockey Canada FR (@HockeyCanada_fr) March 6, 2022
HOMMAGE À DEUX LÉGENDES
Enfin, il était impossible de ne pas revenir sur le décès de deux grands joueurs québécois.
Le 15 avril, Mike Bossy s’est éteint à l’âge de 65 ans. Il a contribué aux quatre conquêtes consécutives de la coupe Stanley par les Islanders de New York dans les années 1980. L’ailier droit originaire de Montréal est le seul joueur dans l’histoire de la LNH à avoir marqué 50 buts lors de neuf saisons de suite. Bossy a aussi représenté le Canada à deux reprises, soit aux éditions 1981 et 1984 de la Coupe Canada. Il y a accumulé 13 buts et 7 aides en 15 matchs. Bossy a été intronisé au Temple de la renommée du hockey en 1991 avant d’être nommé parmi les 100 plus grands joueurs de la LNH en marge des célébrations du Centenaire de la ligue en 2017.
Nous sommes attristés par le décès de Mike Bossy, une légende d’Équipe Canada qui a porté la 🍁 aux éditions 1981 et 1984 de la Coupe Canada. Nos sincères condoléances à sa famille et à ses amis. ❤️ pic.twitter.com/CSQZD88v4o
— Hockey Canada FR (@HockeyCanada_fr) April 15, 2022
Guy Lafleur a rendu l’âme à l’âge de 70 ans une semaine après le décès de Bossy . Il a remporté la coupe Stanley à cinq occasions avec les Canadiens de Montréal avant de conclure sa carrière avec les Rangers de New York et les Nordiques de Québec. Natif de Thurso, il est devenu le premier joueur dans l’histoire de la LNH à récolter 50 buts et 100 points lors de six saisons consécutives. Lafleur a fait partie des équipes canadiennes à la Coupe Canada en 1976 et 1981, de même qu’au Championnat mondial de 1981. Il y a totalisé quatre buts et 14 mentions d’aide en 21 rencontres. Après sa première retraite, le Temple de la renommée du hockey lui a ouvert ses portes en 1988 et, tout comme Bossy, il figure parmi les 100 plus grands joueurs de la LNH.
Quel début d’année pour les personnalités du hockey québécois ! Les prochains mois seront tout aussi plaisants à suivre.
Profitez du beau temps, et bonne Fête nationale!
Aperçu de la Série de la rivalité : Canada c. États-Unis
Dimanche 10 novembre | 17 h HR | Boise, Idaho | Match no 3
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (10 NOV.)
Le volet américain de la Série de la rivalité prend fin dimanche à Boise; l’équipe nationale féminine du Canada tentera de prendre l’avance avant la dernière étape de la série au Canada en février.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Le Canada a créé l’égalité dans la série en remportant un match endiablé au compte de 5-4 en tirs de barrage vendredi soir à West Valley City, Utah. Laura Stacey a obtenu deux buts en temps réglementaire, mais les Canadiennes ont perdu une avance de trois filets en troisième période. Il a fallu que Chloe Primerano joue les héroïnes lors de la cinquième ronde des tirs de barrage grâce à un but sensationnel pour confirmer la victoire des siennes.
À surveiller
C’est de plus en plus évident : Stacey adore être sous les feux de la rampe. La joueuse de Kleinburg, en Ontario, a enfilé l’aiguille deux fois lors du deuxième match, démontrant encore une fois qu’elle sait se montrer à la hauteur dans les grands matchs. Depuis les Jeux olympiques d’hiver de 2022, Stacey a récolté 27 points (14-13—27) en 44 matchs aux Jeux olympiques, aux Mondiaux féminins et à la Série de la rivalité; cela représente près des deux tiers de son total de points en carrière dans près de la moitié de son total de matchs (elle a 44 points en 98 matchs). Le trio de vétéranes formé de Stacey, Blayre Turnbull et Emily Clark a fait preuve de constance dans le clan canadien, ayant obtenu trois des six buts inscrits en temps réglementaire lors des deux premières parties de la série.
Ce sera un match spécial dimanche soir; Hilary Knight, la capitaine des États-Unis, jouera dans son État natal pour la première fois dans l’uniforme de son pays – la ville de Boise est située trois heures à l’ouest de sa ville d’origine de Sun Valley. À 35 ans, Knight continue de produire. Elle a marqué deux fois dans les six dernières minutes vendredi pour aider les États-Unis à combler un déficit de trois buts tard dans la rencontre et forcer la tenue d’une prolongation. Elle a huit points (4-4—8) en huit matchs de la Série de la rivalité au cours des deux dernières saisons. La future membre du Temple de la renommée du hockey se rapproche du plateau des 300 points en carrière avec les États-Unis (elle en a actuellement 276) et détient plusieurs records du Mondial féminin, notamment le plus grand nombre de médailles (14), de buts (65) et de points (111).
Jalon à surveiller
Après avoir marqué un but en désavantage numérique vendredi soir, Marie-Philip Poulin n’a besoin que d’un seul point pour dépasser Danielle Goyette, joueuse d’avant intronisée au Temple de la renommée du hockey, au quatrième rang des meilleures pointeuses de l’histoire de l’équipe nationale féminine (219 points).
Brianne Jenner n’est qu’à deux buts du plateau des 50 en carrière avec Équipe Canada. Si elle l’atteint, elle deviendra la 14 e joueuse à y arriver. Stacey et Sarah Nurse joueront quant à elles un 99 e match à l’international, ce qui les approche du plateau des 100.
Rétrospective
L'Idaho devient le 19eÉtat différent à accueillir un duel entre le Canada et les États-Unis; les Canadiennes détiennent un avantage de 35-29-1 lors des parties jouées au sud de la frontière.
L’histoire nous dit que la prolongation est souvent nécessaire lors des duels entre ces deux pays aux États-Unis. En 65 matchs depuis 1994, 16 ont nécessité une prolongation, dont sept des 15 derniers. C’est au match pour la médaille d’or du Championnat Pacific Rim 1995 que les deux pays ont croisé le fer en prolongation pour la première fois aux États-Unis; le Canada avait gagné 2-1 en tirs de barrage. Caroline Ouellette a été la première à sceller l’issue d’un match en prolongation lors du match pour la médaille d’or du Mondial féminin 2012.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 106-80-1 (25-20 en PROL. ou TB) Buts pour le Canada : 521 Buts pour les États-Unis : 461
Ontario Rouge remporte l’or au Championnat national féminin des M18 2024
QUISPAMSIS, Nouveau-Brunswick – Ontario Rouge a gagné une septième médaille d’or consécutive au Championnat national féminin des M18, battant le Québec 1-0 au qplex samedi soir. Ontario Rouge a remporté une 14 e médaille d’or en 15 éditions du championnat national depuis le tournoi inaugural en 2001, tandis que le Québec a obtenu une neuvième médaille d’argent et une troisième depuis 2016. Dorothy Copetti (Toronto, ON/Durham West, M22 élite de l’OWHA) a brisé l'impasse en redirigeant un tir de la pointe d’ Alex Therien (Greely, ON/Nepean, M22 élite de l’OWHA) pour permettre à Ontario Rouge d’obtenir le seul filet dont l’équipe aura eu besoin pour l’emporter par jeu blanc. « C’était le but le plus important de ma vie », a confié Copetti. « Je ne pourrai pas jouer au hockey pendant toute ma vie, mais marquer ce but et remporter ce tournoi, ça m’aura permis de me forger un souvenir que je n’oublierai jamais et dont je serai fière pour toujours. Amelia Wilkinson (Holland Landing, ON/Barrie, M22 élite de l’OWHA) a remporté le duel de gardiennes de but en réalisant 35 arrêts sans accorder de but, tandis que la cerbère québécoise Marilou Grenier (Quebec, QC/Limoilou, RSEQ) a offert une autre performance fantastique avec 22 arrêts. « Nous avons fait preuve d’une énorme résilience ce soir », a exprimé la capitaine Maxine Cimoroni (Toronto, ON/Mississauga, M22 élite de l’OWHA) . Je ne pense pas que nous avons été à notre sommet lors des deux premières périodes, mais quand nous avons marqué ce premier but, nous savions que nous pourrions fermer le jeu. Nous avons bloqué beaucoup de tirs et trimé dur. » La Colombie-Britannique bat l’Alberta 4-2 pour gagner la médaille de bronze Plus tôt dans la journée, London McDavid (Maple Ridge, BC/Delta Hockey Academy, CSSHL) a marqué le but de la victoire en supériorité numérique avec un peu plus de cinq minutes à faire en temps réglementaire pour permettre à la Colombie-Britannique de remporter une deuxième médaille de bronze consécutive. Maisie Cope (Victoria, BC/Delta Hockey Academy, CSSHL) a réalisé 27 arrêts dans la victoire. « C’est un sentiment plutôt agréable », a dit McDavid. « Nous avons travaillé jusqu’à la fin en nous serrant les coudes et nous avons fini le travail. C’est spécial… pour beaucoup d’entre nous, c’était notre dernière chance de jouer ensemble, alors c’est extraordinaire de repartir avec la médaille de bronze. » Il s’agit de la cinquième médaille de bronze pour la Colombie-Britannique depuis la création du tournoi en 2001. À l’issue du match pour la médaille d’or, les prix du tournoi ont été décernés : Joueuse par excellence : Maxine Cimoroni (Toronto, ON/Mississauga, M22 élite de l’OWHA) Meilleure avant : Stryker Zabloki (Prince Albert, SK/Bishop Kearney Academy, USHS) Meilleure défenseure : Danica Maynard (Lake Country, BC/RHA Kelowna, CSSHL) Meilleure gardienne de but : Marilou Grenier (Québec, QC/Limoilou, RSEQ) Joueuse ayant le meilleur esprit sportif : Sara Manness (La Salle, MB/Burlington, M22 élite de l’OWHA)
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Aperçu de la Série de la rivalité : Canada c. États-Unis
Vendredi 8 novembre | 19 h HR | West Valley City, Utah | Match no 2
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (8 NOV.)
L’équipe nationale féminine du Canada reprend l’action dans la Série de la rivalité après avoir plié l’échine au premier duel contre les États-Unis. Le deuxième acte de la série aura lieu vendredi soir à West Valley City, en banlieue de Salt Lake City.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Le Canada a amorcé la série avec un revers de 7-2 contre les États-Unis mercredi soir à San Jose, en Californie. Blayre Turnbull et Sarah Nurse ont marqué à 92 secondes d’intervalle en fin de deuxième période, mais une première période de cinq buts des Américaines a fait la différence. Ann-Renée Desbiens a été solide en remplacement de la gardienne de but partante Kristen Campbell, repoussant 12 des 14 tirs reçus au cours des 40 dernières minutes.
À surveiller
Daryl Watts a emprunté un chemin plutôt unique pour faire ses débuts avec Équipe Canada à San Jose. Après avoir gagné deux médailles d’argent au Championnat mondial féminin des M18 de l’IIHF en 2016 et en 2017, la joueuse de Toronto a connu une carrière historique dans les rangs universitaires. En 2018, elle est devenue la première joueuse de première année à remporter le prix Patty-Kazmaier à titre de Joueuse de l’année dans la NCAA avec le Collège de Boston et, en 2021, elle a mis la main sur un titre national avec l’Université du Wisconsin. Watts a signé une entente record avec le Six de Toronto en janvier 2023 et, quelques mois plus tard, elle a gagné le championnat de la PHF avant d’être sélectionnée par Ottawa lors du repêchage inaugural de la LPHF. Elle a terminé la saison au premier rang des buteuses d’Ottawa avant de signer un contrat avec les Sceptres de Toronto. Et maintenant, elle peut dire qu’elle a porté le chandail de l’équipe nationale féminine.
Laila Edwards a été élue Joueuse par excellence du Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF sur sa patinoire à Utica, marquant six buts en sept matchs, un sommet dans le tournoi. Elle a également remporté le prix Bob-Allen remis par USA Hockey à la Joueuse de l’année. Mais qui dit nouvelle saison, dit nouveau défi. Edwards est passée d’attaquante à défenseure – lors du premier match mercredi soir, elle a formé un duo avec la vétérane Megan Keller. Elle n’a pas semblé dérangée par ce changement (elle avait patrouillé la ligne bleue au hockey mineur et à l’école secondaire), obtenant deux mentions d’aide dans la victoire.
Jalon à surveiller
Marie-Philip Poulin n’a besoin que d’un seul point pour rejoindre Danielle Goyette, joueuse d’avant intronisée au Temple de la renommée du hockey, au quatrième rang des meilleures pointeuses de l’histoire de l’équipe nationale féminine (218 points).
Brianne Jenner n’est qu’à deux buts du plateau des 50 en carrière avec Équipe Canada. Si elle l’atteint, elle deviendra la 14 e joueuse à y arriver. Sarah Nurse et Laura Stacey joueront quant à elles un 98 e match à l’international, ce qui les approche du plateau des 100.
Rétrospective
Une page du grand livre d’histoire du hockey est associée à l’aréna où se déroulera ce match. Le Maverik Center a auparavant été connu sous le nom d’E Center. C’est là qu’ont eu lieu les tournois de hockey des Jeux olympiques d'hiver de 2002.
Les partisans et partisanes du pays se souviendront sans doute de la conclusion du tournoi chez les femmes – le 21 février 2002, Jayna Hefford avait inscrit le but de la victoire dans les dernières secondes de la deuxième période, et le Canada avait vaincu les États-Unis 3-2 pour remporter sa première médaille d’or olympique.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 105-80-1 (24-20 en prolongation ou TB) Buts pour le Canada : 516 Buts pour les États-Unis : 457
Aperçu de la Série de la rivalité : Canada c. États-Unis
Mercredi 6 novembre | 19 h HP | San Jose, Californie | Match no 1
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (6 NOV.)
L’équipe nationale féminine du Canada amorce une nouvelle saison mercredi soir contre une nation qu’elle est très habituée d’affronter! L’édition 2024-2025 de la Série de la rivalité se met en branle dans le nord de la Californie.
Dernière rencontre entre les deux équipes
La dernière fois que les deux équipes rivales de l’Amérique du Nord ont croisé le fer remonte au 14 avril dernier lors du match pour la médaille d’or du Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF à Utica, dans l’État de New York. Après une troisième période endiablée où les Canadiennes et les Américaines ont marqué quatre buts en six minutes, Danielle Serdachny a joué les héroïnes en poussant un retour d’Erin Ambrose dans le filet adverse à 5 min 19 s de la prolongation. Ce but a permis au Canada de l’emporter 6-5 et de mettre la main sur un 13 e titre mondial. Ambrose a terminé la rencontre avec un but et une aide, tandis que Marie-Philip Poulin a démontré encore une fois qu’elle excelle dans les grandes occasions en inscrivant un doublé.
Pour une deuxième année de suite, le Canada a complété le balayage inversé en remportant quatre matchs consécutifs lors de la Série de la rivalité, couronnant le tout le 11 février à St. Paul, dans l’État du Minnesota. Natalie Spooner et Emma Maltais ont chacune récolté deux buts et une aide, Sarah Nurse a ajouté trois aides à sa fiche et les Canadiennes ont signé une victoire convaincante de 6-1 au match n o 7 pour remporter les honneurs de la série.
À surveiller
Tous les yeux seront rivés sur Chloe Primerano. D’abord, l’arrière de 17 ans a dépassé Ambrose pour devenir la meilleure buteuse de l’histoire chez les défenseures de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans lors de la série estivale contre les États-Unis. Aussi, elle devrait jouer un rôle de premier plan au Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF en janvier. Mais surtout, lors du premier acte de la Série de la rivalité, elle deviendra la deuxième plus jeune défenseure à jouer pour l’équipe nationale féminine, après Cheryl Pounder lors du Mondial féminin 1994, qui n’avait que deux semaines de moins à l’époque. L’athlète originaire de North Vancouver, en Colombie-Britannique, a été formidable jusqu’ici en tant que joueuse de première année à l’Université du Minnesota, accumulant six points (1-5—6) en 10 matchs pour les Golden Gophers, qui sont au troisième rang du classement.
Les Américaines s’amènent à San Jose avec une formation beaucoup moins expérimentée que celle du Canada; 10 de leurs 27 joueuses évoluent au hockey universitaire cette saison. À la tête de ce groupe, il y a Casey O’Brien, hockeyeuse de cinquième année de l’Université du Wisconsin. Elle trône au sommet des meilleures pointeuses de la NCAA avec 26 points (7-19—26) en 12 matchs pour les Badgers, invaincues et classées en première place. O’Brien, qui a fait ses débuts avec l’équipe nationale lors de la Série de la rivalité l’an dernier, ne faisait pas partie du premier groupe de joueuses nommées à la formation américaine au début du mois d’octobre, mais elle a fait sa place avec l’équipe grâce à un départ canon cette saison.
Jalon à surveiller
Poulin n’a besoin que d’un seul point pour rejoindre Danielle Goyette, attaquante membre du Temple de la renommée du hockey, au quatrième rang des meilleures pointeuses de l’histoire de l’équipe nationale féminine (218 points).
Brianne Jenner n’est qu’à deux buts du plateau des 50 en carrière avec Équipe Canada. Si elle l’atteint, elle deviendra la 14 e joueuse à y arriver. Nurse jouera quant à elle un 97 e match à l’international, ce qui l’approche du plateau des 100.
Rétrospective
Il s’agit de la 186 e rencontre entre le Canada et les États-Unis depuis 1990.
L’historique des duels entre les deux pays favorise le Canada, mais les États-Unis ont un léger avantage pour les affrontements tenus à San Jose, avec trois victoires en cinq parties. Le Canada a signé la victoire la dernière fois que les équipes se sont affrontées au « Shark Tank », en l’emportant 3-1 lors d’une série avant les Jeux olympiques en décembre 2017. Nurse, Poulin et Haley Irwin ont touché la cible.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 105-79-1 (24-20 en prolongarion ou TB) Buts pour le Canada : 514 Buts pour les États-Unis : 450
Marilou Grenier s’amuse un arrêt à la fois
De retour au Championnat national féminin des M18, la charismatique gardienne de but des Titans de Limoilou possède un bagage unique pour guider le Québec vers la gloire
Quand on croise Marilou Grenier, impossible de ne pas se souvenir d’elle.
Valérie Bois, son entraîneuse-chef avec Équipe Québec au Championnat national féminin des M18 2023, en sait quelque chose.
« Elle sourit constamment, et son énergie est vraiment contagieuse », raconte Valérie, qui, comme Marilou, fait un retour au tournoi cette année. « Elle a beaucoup de charisme, les gens se collent à elle facilement. Et elle reste toujours positive. »
« Je suis vraiment sociable, lance Marilou. J’aime détendre l’atmosphère et conter des blagues, ça m’aide de sortir de ma bulle. Mais quand je sais que ça devient sérieux, je suis quelqu’un qui compétitionne énormément. »
Et cet esprit de compétition, elle l’a ressenti au plus haut point le 11 novembre 2023 en Colombie-Britannique.
Devant la cage d’Équipe Québec, avec sa fiche de quatre victoires et aucune défaite depuis le début du championnat national, elle défiait un à un les tirs de la grosse machine d’Ontario Rouge en finale du tournoi. Marilou a maintenu une moyenne de buts alloués de 2,40 et un pourcentage d’arrêts de 0,918 au Championnat national féminin des M18 2023.
Le match s’est transporté en prolongation avec une égalité de 2-2, et la gardienne de but de 16 ans avait déjà plus de 40 arrêts au compteur. Les Ontariennes jouaient pour la cinquième fois en avantage numérique. Plus que jamais, Marilou devait tenir le coup.
« C’était un match haut en émotions. Ontario Rouge avait une équipe bourrée de talent avec des joueuses que j’avais côtoyées à Hockey Canada. Je voulais leur montrer que même si j’étais plus jeune, je pouvais les stopper. Des joueuses des autres équipes éliminées dans les estrades criaient: "Let’s go Québec" parce qu’on était négligées dans ce duel. »
Mais après seulement 25 secondes de jeu en prolongation, l’Ontarienne Mackenzie Alexander a mis fin abruptement au parcours parfait des Québécoises. Sur le 46e tir de son équipe, Mackenzie Alexander a procuré une 13e médaille d’or à Ontario Rouge en 14 éditions du tournoi.
« Avant la finale contre Ontario Rouge, on se regardait toutes et on se disait que ça n’allait pas être facile, se remémore Marilou. Mais je n’étais aucunement stressée et en pleine confiance, parce que j’avais du plaisir avec les filles. J’ai connu un de mes meilleurs matchs à vie. Malgré le pincement au cœur après, on était vraiment fières de nous. On a encore des frissons aujourd’hui quand on parle de cette finale. »
Après les émotions fortes de ce revers crève-cœur, les choses normales ont repris pour Marilou… en attendant son prochain défi.
Accepter un nouveau rôle
Marilou poursuivait sa saison dans la Ligue de hockey d’excellence du Québec (LHEQ) avec les As de Québec lorsqu’elle a reçu une invitation de Hockey Canada pour participer en janvier au Championnat mondial féminin des M18 2024 à Zoug, en Suisse.
Cette fois, ce n’était pas un rôle de premier plan qui allait lui être confié, mais plutôt celui de troisième gardienne de but.
Certaines personnes ne comprenaient pas pourquoi elle était si emballée de sauter dans un avion sans avoir la certitude qu’elle verrait de l’action sur la glace. Mais au contraire, Marilou a savouré pleinement son tournoi, qui a pris fin sur un triomphe de 8-1 contre la Finlande au match pour la médaille de bronze.
« Je n’ai jamais autant trippé de ma vie! Les filles de mon équipe savaient que je ne jouais pas, mais elles me faisaient sentir comme si j’étais la gardienne n o 1 et m’encourageaient. Je suis une personne qui est vraiment heureuse lorsque les autres autour de moi le sont. » Marilou s’est rapidement liée d’amitié avec ses coéquipières d’Équipe Canada, comme la gardienne de but Hannah Clark, son adversaire d’Ontario Rouge au National des M18.
Marilou a de fortes chances de participer à la prochaine édition de ce tournoi, qui aura lieu au mois de janvier en Finlande. Cette fois, c’est un rôle de premier plan qui devrait l’attendre. Et parions que ses observations privilégiées de l’an dernier lui seront bien utiles.
« Dès que je suis revenue de la Suisse, j’ai dit à mes parents que j’étais tellement contente d’y avoir été en tant que troisième gardienne. J’ai pu voir comment les autres pays jouaient. La plus grosse étape a été d’accepter mon rôle. J’ai réussi rapidement à mettre mon ego de côté et j’étais si fière de voir mes partenaires performer devant le filet et de les encourager. »
Ses amitiés tissées à son premier championnat mondial resteront avec elle à jamais et lui serviront de source de motivation pour la suite de son parcours.
« Avant de prendre mon vol de retour à Zurich en janvier dernier, ma coéquipière Caitlin Kraemer m’a pris par les épaules et m’a dit: "Tu vas me ramener l’or l’année prochaine." Caitlin, c’est une femme extraordinaire qui a battu des records, ça m’a tellement marquée qu’elle me dise ça. » Après avoir reçu sa médaille de bronze, Marilou était tout sourire avec sa coéquipière d’Équipe Québec au National des M18, Rosalie Breton.
Mais avant le Mondial, Marilou a un travail à finir sur la scène nationale.
L’heure de la rédemption?
À 17 ans, la jeune cerbère fait un retour au Championnat national féminin des M18, présenté cette année du 3 au 9 novembre à Quispamsis, au Nouveau-Brunswick.
Et elle représente un atout de taille dans la formation québécoise pour l’entraîneuse Valérie Bois.
« Dès notre camp en juillet, les jeunes avaient envie d’être près d’elle, ça les mettait en confiance et c’était plaisant de voir Marilou les aider, confie Valérie. Elle a vécu une grande expérience au Mondial des M18 et on voit qu’elle a gagné en maturité. »
Avec sa présence au tournoi de l’an dernier et le goût amer de la défaite en finale, elle a un bagage unique pour jouer un rôle prépondérant dans la quête d’une première médaille d’or pour le Québec.
« J’ai tellement encore plus le goût de ramener l’or. Mon état d’esprit est vraiment différent. Je ne serai plus intimidée parce que j’affronte des joueuses plus âgées. Mais comme pour n’importe quel match, je veux compétitionner et faire les arrêts clés. »
Dévoilement de la formation de l’équipe nationale féminine pour la première portion de la Série de la rivalité
Un premier affrontement entre Équipe Canada et les États-Unis aura lieu le 6 novembre à San Jose, en Californie
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a annoncé le nom des 25 joueuses qui porteront l’unifolié au sein de l’équipe nationale féminine du Canada lors des trois premières rencontres de la Série de la rivalité 2024-2025, qui s’amorcera le 6 novembre à San Jose, en Californie.
Trois gardiennes de but, huit défenseures et quatorze avants ont été choisies par la directrice générale Gina Kingsbury (Rouyn-Noranda, QC/Toronto, LPHF), l’entraîneur-chef Troy Ryan (Spryfield, NS/Toronto, LPHF) et la première responsable du développement des joueuses et du dépistage Cherie Piper (Scarborough, ON). Les entraîneuses adjointes Kori Cheverie (New Glasgow, NS/Montréal, LPHF), Caroline Ouellette (Montréal, QC/Université Concordia, RSEQ) et Britni Smith (Port Perry, ON/Université de Syracuse, CHA), de même que le consultant des gardiennes de but Brad Kirkwood (Calgary, AB/Toronto, LPHF), ont aussi contribué aux sélections.
« Nous ne sommes qu’à six mois du Championnat mondial féminin 2025 de l’IIHF, et ces trois premiers matchs vont nous donner un bon aperçu de notre profondeur, a expliqué Kingsbury. On parle de deux équipes qui se connaissent très bien, mais cela ne nous empêche pas de poursuivre le travail entamé lors du camp de septembre. Il s’agit de bien évaluer notre équipe, dès maintenant et tout au long de la saison. »
La liste de joueuses en comprend 21 qui ont remporté la 13e médaille d’or du Canada lors du Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF (Ambrose, Bell, Bourbonnais, Campbell, Clark, Desbiens, Fast, Fillier, J. Gosling, Jenner, Larocque, Maltais, Maschmeyer, Nurse, O’Neill, Poulin, Rattray, Serdachny, Shelton, Stacey, Turnbull).
Chloe Primerano (North Vancouver, BC/Université du Minnesota, WCHA) et Daryl Watts (Toronto, ON/Toronto, LPHF) en seront à leurs débuts au sein de l’équipe nationale féminine.
C’est dans les Maritimes que la Série de la rivalité se conclura en février prochain. L’avant-dernier duel sera disputé le jeudi 6 février à 19 h HA au Scotiabank Centre, domicile des Mooseheads de Halifax dans la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ). Les équipes se rendront ensuite à Summerside, à l’Île-du-Prince-Édouard, et croiseront le fer à la Credit Union Place, domicile des Western Capitals de Summerside dans la Ligue de hockey des Maritimes (MHL), le samedi 8 février à 19 h HA.
Hockey Canada, en partenariat avec ses 13 membres, annoncera des initiatives locales pour ces deux affrontements en sol canadien, l’objectif pour l’équipe nationale féminine du Canada étant de multiplier les interactions dans les deux communautés et d’y laisser un legs durable à la prochaine génération.
TSN et RDS, partenaires officiels de diffusion de Hockey Canada, présenteront chacun des cinq matchs de la Série de la rivalité; veuillez consulter votre programmation locale pour plus de détails.
Le Canada a remporté les deux dernières éditions de la Série de la rivalité, gagnant les quatre dernières parties en 2023 et en 2024 pour s’assurer de la victoire lors des deux années. Les
Canadiennes détiennent l’avantage 15-13 sur les Américaines depuis la création de la Série de la rivalité en 2018-2019.
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Publication d’un document de discussion sur le hockey féminin
Le document fait état de six domaines lacunaires qui nuisent au hockey féminin
CALGARY (Alberta) – Hockey Canada a publié Bâtir l’avenir du hockey féminin, un document de discussion dont l’élaboration a été supervisée par un comité directeur formé de 15 personnes possédant une expérience significative du hockey et du sport féminins et présidé par Gillian Apps, membre du conseil d’administration de Hockey Canada et ancienne joueuse de l’équipe nationale féminine.
Ce document vise à expliquer à toutes les personnes au pays qui ont à cœur le hockey féminin les obstacles auxquels est confronté le sport afin que, tous ensemble, nous puissions éliminer ces obstacles à tous les niveaux et aider le hockey féminin à atteindre son plein potentiel au Canada.
« Il est passionnant de réfléchir à l’avenir du hockey féminin au Canada, et nous espérons qu’à la lecture de ce document, les gens au Canada se sentiront galvanisés et interpellés à s’impliquer avec nous, a exprimé Apps. Nous avons une occasion en or de miser sur l’intérêt grandissant envers le hockey féminin, et notre comité s’est engagé à aider Hockey Canada et ses membres à continuer de faire croître le sport.
« Nous espérons que le jour viendra où toutes les filles qui le souhaitent pourront jouer au hockey, car les obstacles liés au genre seront éliminés, mais nous savons qu’il reste encore beaucoup à faire pour assurer l’avenir du hockey féminin. »
Le document de discussion fait état de six domaines grandement lacunaires qui nuisent à l’essor et au potentiel du hockey féminin : structure; affectation équitable des ressources; politiques et gouvernance; formation; données; visibilité et célébration.
Le document se penche également sur l’état actuel du hockey féminin au Canada et présente la Vision 2030, qui a pour objectif de faire passer le nombre de hockeyeuses au pays à plus de 170 000 d’ici 2030.
Au cours des prochaines semaines, IMI International lancera un processus de recherche officiel et sondera des athlètes, des entraîneuses et entraîneurs, des officielles et officiels, des administratrices et administrateurs, des bénévoles, des amatrices et amateurs, ainsi que d’autres Canadiennes et Canadiens. Ces recherches soutiendront le travail du comité, qui doit élaborer des recommandations afin d’orienter le prochain plan stratégique de Hockey Canada – et du Canada – pour le hockey féminin.
Le document Bâtir l’avenir du hockey féminin est disponible ici.
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Le Canada obtient la médaille d’argent à la Coupe internationale de parahockey 2024
L’équipe nationale de parahockey du Canada a perdu 5-3 contre les États-Unis au match pour la médaille d’or
OSTRAVA, Tchéquie – L’équipe nationale de parahockey du Canada a obtenu la médaille d’argent pour une troisième fois de suite à la Coupe internationale de parahockey 2024, s’inclinant par la marque de 5-3 devant les États-Unis dans le match pour la médaille d’or à l’Ostravar Aréna. Auren Halbert (Calgary, AB), Dominic Cozzolino (Mississauga, ON) et James Dunn (Wallacetown, ON) ont fait mouche pour le Canada dans une reprise du match pour la médaille d'or du Championnat mondial de parahockey 2024. Les États-Unis ont répliqué rapidement après chaque but des Canadiens, obtenant deux buts en supériorité numérique de Declan Farmer (Clearwater, FL), ce qui leur a permis de terminer le tournoi avec une fiche parfaite de 5-0, grâce entre autres à deux victoires contre le Canada. « Nous comprenons bien notre identité en tant qu’équipe, et nous savons de quelle façon nous devons jouer match après match, a exprimé l’entraîneur-chef Russ Herrington (Unionville, ON/Université York, SUO). Je pense qu’aujourd'hui et hier, nous avons fait les choses de la bonne manière, et ça nous a donné une chance de gagner.C’est difficile de triompher à ce niveau, c’est souvent les petits détails qui font la différence, et ce soir, les États-Unis ont eu le dessus dans cet aspect. » Le Canada avait obtenu un dossier de 2-1 en ronde préliminaire, ayant défait l’Italie à son premier match du tournoi, pour ensuite baisser pavillon contre les États-Unis et vaincre la Tchéquie. Les Canadiens ont ensuite confirmé leur participation au match pour la médaille d’or en battant les Tchèques 1-0 en demi-finale samedi. Adam Kingsmill (Smithers, BC) a été efficace devant le filet, réalisant 22 arrêts, tandis que la performance de Dunn , qui a marqué au troisième tiers, lui a valu le titre de Joueur du match du Canada. « Nous avons constaté une énorme progression cette semaine, en particulier de la part de nos jeunes joueurs. Plusieurs ont dû jouer plus de minutes que ce à quoi ils sont habitués. Des gars comme Vincent Boily (Alma, QC) et Shawn Burnett (McMasterville, QC) ont démontré à quel point ils ont travaillé fort cet été, a ajouté Herrington . Quand on gagne un gros tournoi comme le Mondial de parahockey, on se demande toujours si les joueurs vont revenir sans avoir nécessairement le couteau entre les dents, mais plusieurs nous sont revenus dans la meilleure forme de leur vie. Je ne retiens que du positif de nos deux dernières semaines. » L’équipe nationale de parahockey du Canada amorcera désormais ses préparatifs en vue de la Coupe de parahockey 2024, qui aura lieu du 8 au 14 décembre à Charlottetown, à l’Île-du-Prince-Édouard. Les forfaits complets de billets sont maintenant en vente .
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Annonce de la formation de l’équipe nationale de parahockey en vue de la Coupe internationale de parahockey 2024
Les champions mondiaux en titre amorcent la saison 2024-2025 en Tchéquie
ELMIRA, Ontario – Hockey Canada a procédé à l’annonce des 18 joueurs qui représenteront le pays au sein de l’équipe nationale de parahockey du Canada à la Coupe internationale de parahockey (IPH), qui aura lieu du 7 au 13 octobre à Ostrava, en Tchéquie .
Trois gardiens de but, cinq défenseurs et dix avants ont été choisis par l’entraîneur-chef Russ Herrington (Unionville, ON/Université York, SUO) et le responsable des activités hockey Adam Janssen (Richmond Hill, ON) . Les entraîneurs adjoints Mike Fountain (Gravenhurst, ON) , Boris Rybalka (Vernon, BC) et Greg Westlake (Oakville, ON) ont également participé au processus de sélection.
« C’est emballant pour nous de commencer notre saison 2024-2025 à l’étranger, a déclaré Herrington. Nous voulons bâtir sur nos succès au Mondial de parahockey et poursuivre notre développement et notre croissance comme groupe. Le camp d’évaluation a été relevé, et nous avons hâte d’affronter trois bonnes équipes en Tchéquie. »
La formation comprend 14 joueurs qui ont remporté une médaille d’or lors du Championnat mondial de parahockey 2024 (Armstrong, Boily, Burnett, Cozzolino, Dixon, Dunn, Halbert, Henry, Jacobs-Webb, Kingsmill, Kovacevich, Lelièvre, McGregor, Watson) . Les sélections au sein de l’équipe nationale de parahockey du Canada ont été effectuées à partir de la liste de 32 athlètes qui ont pris part au camp d’évaluation tenu du 27 septembre au 3 octobre au Woolwich Memorial Centre d’Elmira, en Ontario.
Le Canada débute son tournoi à la Coupe IPH contre l’Italie à 9 h HE / 6 h HP le 7 octobre. Il affrontera également les États-Unis (8 octobre) dans une reprise du match pour la médaille d’or du Mondial de parahockey, puis l’équipe hôte de la Tchéquie (10 octobre) en ronde préliminaire. Les demi-finales auront lieu le 12 octobre, et les matchs pour les médailles se tiendront le 13 octobre.
Hockey Canada a aussi dévoilé son personnel de soutien qui se rendra à Ostrava :
- L’entraîneur vidéo Steve Arsenault (Spruce Grove, AB)
- Les responsables de l’équipement Grant Boswall (Cornwall, PE) et Matina Landstad (West Vancouver, BC/Toronto, LPHF)
- Le physiothérapeute Michael Lenart (Keswick, ON)
- La médecin de l’équipe D re Danielle Kelton (Guelph, ON)
- Le directeur des activités hockey Benoit Roy (Sudbury, ON)
- La coordonnatrice aux activités hockey Miah Armitage (Creston, BC)
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Invitations au camp d’évaluation de l’équipe nationale de parahockey
32 athlètes seront du camp de six jours à Elmira, en Ontario
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a dévoilé le nom des 32 athlètes qui participeront au camp d’évaluation de l’équipe nationale de parahockey du Canada qui se tiendra du 27 septembre au 2 octobre au Woolwich Memorial Centre d’Oakville, en Ontario. Au total, ce sont cinq gardiens de but, onze défenseurs et seize avants – y compris les seize membres de la formation qui a remporté la médaille d’or au Championnat mondial de parahockey 2024 à Calgary – qui ont été sélectionnés par l’entraîneur-chef Russ Herrington (Unionville, ON) et ses adjoints Mike Fountain (Gravenhurst, ON), Boris Rybalka (Vernon, BC) et Greg Westlake (Oakville, ON).
« Ce camp marque une étape importante de notre parcours, nous qui tenterons cette saison de défendre notre titre mondial, a déclaré Herrington. Nous pourrons compter sur le retour de nos vétérans, à qui viendra se greffer un groupe de jeunes au talent prometteur qui voudront certainement faire tourner les têtes. C’est l’occasion pour tout le monde de se rassembler et de commencer à travailler ensemble pour incarner les valeurs d’Équipe Canada. »
Des séances d’entraînement sur glace et hors glace ainsi que trois matchs intraéquipes (28-30 sept.) seront au programme à des fins d’évaluation et de préparation en vue des compétitions internationales à venir. Au terme du camp d’évaluation, l’équipe nationale de parahockey du Canada mettra le cap sur Ostrava, en Tchéquie, où se tiendra la Coupe internationale de parahockey du 7 au 13 octobre . Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et l’équipe nationale de parahockey du Canada, veuillez visiter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux Facebook, X, Instagram et TikTok .
Pour plus d'informations : |
Jeremy Knight
Responsable, communications organisationnelles
Hockey Canada
(647) 251-9738
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