Comme mon grand frère
Les espoirs des M18 Kristina Bahl et Dominique Cormier n’ont pas à chercher bien loin pour trouver leur modèle idéal au sein d’Équipe Canada, car leurs frères ont porté le chandail orné de la feuille d’érable
Peu après que les équipes des Bleus et des Blancs se soient affrontées mardi soir au camp de sélection BFL de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans, Kristina Bahl a reçu un message texte de son frère aîné, Kevin, qui suivait les progrès de sa sœur grâce à la diffusion en direct.
« Il m’a dit : “Garde tes pieds en mouvement et tu es en or” », a déclaré Bahl, une défenseure de 17 ans.
Bahl est reconnaissante de tout conseil que son grand frère peut lui prodiguer, sachant que Kevin n’est pas étranger au succès. Lui-même défenseur, il a remporté une médaille d’or avec l’équipe nationale masculine estivale des moins de 18 ans du Canada à la Coupe commémorative Ivan Hlinka 2017 et a été sélectionné 55e au total par les Coyotes de l’Arizona lors du repêchage de la LNH en 2018.
Bahl affirme avoir tellement de respect pour son frère – qui a participé au camp de développement estival Sport Chek de l’équipe nationale junior du Canada à Plymouth, au Michigan, en juillet – qu’elle tente d’imiter la façon dont il bouge ses pieds et se positionne en zone défensive.
Dominique Cormier, défenseure des Blancs au camp des M18, est aussi fortement influencée par son frère aîné Lukas – membre de l’équipe nationale masculine estivale des M18 du Canada qui a remporté la médaille d’argent à la Coupe Hlinka-Gretzky 2019.
« J’ai toujours voulu être comme lui », dit Cormier. « Je suis défenseure à cause de lui, et je demandais toujours “Quel numéro porte Lukas?” J’ai commencé à porter le [numéro 15] comme lui.
Il me poussait constamment. Nous allions toujours au sous-sol où nous jouions des matchs à un contre un. Il a toujours été un grand modèle pour moi. »
Tout comme Bahl, Cormier dit que son style de jeu fait écho à la façon dont son grand frère aime jouer. Dominique et Lukas – qui ont joué une saison ensemble pour les Flames de South Kent dans la classe atome AA – aiment jouer un jeu offensif rapide tout en respectant leurs responsabilités défensives.
Bahl et Cormier ont quitté Mississauga, Ontario, et Sainte-Marie-de-Kent, Nouveau-Brunswick, pour se rendre à Calgary dans le but de faire bonne impression au camp de sélection, tout comme l’ont fait Kevin et Lukas au cours d’étés précédents.
Elles ont chacune reçu des conseils fraternels avant d’amorcer leur première expérience auprès d’Équipe Canada.
« J’essayais simplement de lui demander “Comment ça se passe?”, dit Bahl. “Il m’a dit de m’assurer d’avoir 10 heures de sommeil et que j’allais figurer tout le reste par moi-même.”
Bahl ajoute que Kevin l’a informée que “la qualité de l’entraînement allait être irréelle” et cela a certainement été le cas; les entraîneurs au camp incluent les médaillées d’or olympiques Haley Irwin et Tara Watchorn.
Cormier, pour sa part, a été avisée, par Lukas, du « rythme rapide du camp » et que « son attitude serait évaluée à tout moment, sur la glace et à l’extérieur de celle-ci ».
La plus jeune joueuse au camp de sélection – elle n’aura 16 ans que le 11 octobre – affirme que plonger dans la culture de Hockey Canada est une expérience motivante.
« C’est inspirant pour moi. Depuis mon plus jeune âge, je rêve d’aller aux Olympiques et de gagner une médaille en portant la feuille d’érable. Je suis reconnaissante d’être ici. »
Après le camp de sélection – et, espérons-le, un voyage à Lake Placid, N.Y., pour une série de trois matchs entre le Canada et les États-Unis la semaine prochaine – Bahl et Cormier chercheront à prendre les leçons qu’elles ont apprises et à les utiliser avec les Hornets d’Oakville et le Collège de Stanstead, respectivement.
Leur avenir au hockey est déjà tracé : Bahl s’est engagée à jouer pour l’Université St. Lawrence à compter de l’automne 2020 et Cormier devrait jouer à l’Université de Princeton un an plus tard.
Les deux défenseures continueront de suivre les conseils et l’exemple de leur frère alors qu’elles se dirigent chacune vers une carrière postsecondaire et, possiblement, vers des occasions plus prestigieuses auprès de Hockey Canada.
Dans le cas de Cormier, elle continuera d’essayer d’être un modèle pour son frère en ce qui a trait aux études.
« Je pense que c’est moi qui l’aidais en classe », dit-elle en riant. « Parfois, il me taquinait et disait “Dom, fais mes devoirs pour moi.” Je disais “Non, je ne les ferai pas, mais je vais t’aider.”. »
Le Canada remporte l’or au Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF
Tiller, Copetti et Zablocki marquent, Grenier signe le jeu blanc, et le Canada remporte un huitième titre mondial
VANTAA, Finlande – L’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada a gagné la médaille d’or au Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF en blanchissant les États-Unis par un pointage de 3-0 dimanche au Tikkurila Arena. Il s’agit de la huitième médaille d’or pour le Canada au Mondial féminin des M18 (2010, 2012, 2013, 2014, 2019, 2022, 2023, 2025). À la suite d’une première période où aucun but n’a été inscrit, Caileigh Tiller (St. Catharines, ON/Burlington, M22 élite de l’OWHA) a brisé la glace en avantage numérique après un peu plus de huit minutes de jeu au deuxième tiers. Dorothy Copetti (Toronto, ON/Durham West, M22 élite de l’OWHA) a ajouté un but d’assurance à mi-chemin de la troisième période avant que Stryker Zablocki (Prince Albert, SK/Selects de Bishop Kearney, USHS) complète la marque dans un filet désert à moins de deux minutes de la fin de la rencontre. Sydney Sawyer (Burketon, ON/Etobicoke, M22 élite de l’OWHA) a récolté deux aides, tandis que Danica Maynard (Osoyoos, BC/RHA Kelowna, CSSHL) et Alex Therien (Ottawa, ON/Nepean, M22 élite de l’OWHA) ont obtenu une aide chacune. Les Canadiennes ont dominé les Américaines 30-14 au chapitre des tirs au but. « Ce fut une expérience incroyable, et c’est un plaisir de la partager avec notre personnel fantastique. Je suis tellement contente et fière de tout le monde dans l’équipe », a affirmé l’entraîneuse-chef Vicky Sunohara (Scarborough, ON/Université de Toronto, SUO). « Nous avions parlé de nous améliorer d’un pour cent chaque jour, et l’équipe a relevé le défi avec brio. Les joueuses voulaient devenir meilleures et mieux se soutenir entre elles chaque jour. Tout au long du tournoi, l’équipe en entier a mis l’épaule à la roue. » Marilou Grenier (Québec, QC/Limoilou, RSEQ) a bloqué 14 tirs pour décrocher une quatrième victoire en autant de départs. Elle a conservé une moyenne de buts alloués de 1,00 et un pourcentage d’arrêts de 0,935 dans le tournoi, en plus de réussir deux jeux blancs. Après le match pour la médaille d’or, la capitaine canadienne Chloe Primerano (North Vancouver, BC/Université du Minnesota, WCHA) a été nommée Meilleure défenseure pour une seconde année consécutive. En outre, elle se joint à Zablocki – qui a mené le tournoi pour le nombre de buts (8) et de points (12) – parmi l’équipe des étoiles des médias. Primerano a accumulé 26 points (12-14—26) en deux participations au Mondial féminin des M18, égalant ainsi Marie-Philip Poulin pour le plus haut total par une Canadienne au tournoi. Lors de la victoire en demi-finale de samedi contre la Tchéquie, elle a surpassé Caitlin Kraemer à titre de meilleure pointeuse de tous les temps au sein de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada; Primerano conclut sa carrière chez les M18 avec 37 points (18-19—37) en 21 matchs. Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada, veuillez consulter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux sur Facebook, X, Instagram et TikTok, et utiliser le mot-clic #MondialFémininM18.
Aperçu du Mondial féminin des M18 : Canada c. États-Unis
Dimanche 12 janvier | 12 h HE | Vantaa, Finlande | Match pour la médaille d’or
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (12 JANV.)
À une seule victoire de remporter un huitième titre mondial, l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada a rendez-vous avec les États-Unis dimanche au match pour la médaille d’or du Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF.
Dernier match de chaque équipe
La victoire des Canadiennes en demi-finale, 4-2 contre la Tchéquie, a eu une saveur de revanche pour elles, un an après avoir plié l’échine par le même pointage, également en demi-finale. Stryker Zablocki a poursuivi sur son excellente lancée, obtenant un but et une aide, comme Caileigh Tiller. Marilou Grenier a réalisé 19 arrêts, tandis que Chloe Primerano a récolté deux aides, ce qui lui a permis de devenir la meilleure pointeuse de l’histoire de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans.
Les Américaines ont eu la frousse face aux Suédoises dans l’autre demi-finale samedi, l’emportant par un pointage serré de 2-1 pour passer en finale. Les championnes du monde en titre ont profité d’une deuxième période de deux buts de la capitaine Anabella Fanale et de 17 arrêts de Morgan Stickney pour permettre aux États-Unis de passer au match pour la médaille d’or pour une 16 e fois.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les Canadiennes ont affronté les Américaines lors d’une série estivale de trois matchs à Thorold, en Ontario, au mois d’août dernier, et elles ont gagné deux des trois affrontements. Lors de la troisième et dernière partie, Stryker Zablocki a envoyé tout le monde en prolongation en touchant la cible avec seulement 58 secondes à jouer en troisième période, mais à la suite d’une séance de tirs de barrage de sept rondes, les États-Unis ont signé une victoire de 4-3.
Le dernier duel entre les deux rivales au Mondial féminin des M18 a eu lieu en ronde préliminaire du tournoi de 2023, à Östersund, en Suède. Caitlin Kraemer a marqué deux fois, Emma Pais a récolté un but et une aide, et les Canadiennes ont limité les États-Unis à seulement 11 tirs au but dans une victoire de 3-1 qui a couronné un tour préliminaire parfait.
À surveiller
Bien que cet espace soit généralement réservé aux prouesses individuelles, il serait regrettable de ne pas souligner l’effort complet du Canada qui lui a permis de faire un retour au match pour la médaille d’or. Après trois victoires au tour préliminaire et deux gains en ronde éliminatoire, les Canadiennes ont marqué le plus grand nombre de buts (37), pris le plus grand nombre de tirs (250) et accordé le plus faible nombre de tirs (63), tout en ayant le meilleur jeu de puissance (45 %) et le meilleur taux d’efficacité en désavantage numérique (94,7 %) du tournoi. Les 20 patineuses de l’équipe ont obtenu au moins un point, et trois des quatre meilleures pointeuses du tournoi portent la feuille d'érable – Zablocki (7-4—11), Primerano (4-6—10) et Maxine Cimoroni (4-6—10). Les gardiennes de but ont bien paru aussi – Grenier a un pourcentage d’arrêts de 0,917 en trois départs, tandis qu’Amelia Wilkinson n’a accordé qu’un seul but en 120 minutes, avec une moyenne de buts alloués de 0,50 et un pourcentage d’arrêts de 0,933.
Les Américaines ont été très hermétiques en défense. Elles n’ont toujours pas accordé un but à 5 contre 5 et n’ont cédé que deux fois (en désavantage numérique) en cinq rencontres. Quelle est la principale raison de leurs prouesses en défensive? Elles n’accordent pas beaucoup de tirs. Elles n’en ont concédé que 64, et le total de 18 tirs reçus contre la Suède représente le plus haut en un match au tournoi. Morgan Stickney a été employée lors de chaque seconde jusqu’à présent, présentant une minuscule moyenne de buts alloués de 0,40 et un pourcentage d’arrêts de 0,969, signant trois jeux blancs. Fanale (5-4—9) et Mary Derrenbacher (2-6—8) ont pris les choses en main en attaque. Il ne faut pas oublier l’expérience au sein de l’équipe non plus; les États-Unis comptent huit joueuses – Derrenbacher, Fanale, Caroline Averill, Margaret Averill, Haley Box, Natalia Dilbone, Megan Healy et Macy Rasmussen – qui faisaient partie de l’équipe qui a vaincu la Tchéquie 5-1 pour gagner l’or il y a un an à Zoug.
Rétrospective
Si on inclut la série estivale, le Canada et les États-Unis ont croisé le fer à 68 reprises depuis la création du programme des M18 en 2007. Les Canadiennes ont un léger avantage de 38-30, tandis que les Américaines ont remporté 13 des 22 derniers duels au Mondial féminin des M18.
Mais l’histoire nous révèle qu’on est en droit de s’attendre à un match serré; des 22 affrontements au championnat mondial, 10 ont nécessité la tenue d’une prolongation et trois autres ont terminé avec un écart d’un but en temps réglementaire. Le Canada a remporté sa première médaille d’or en prolongation; l’actuelle entraîneuse adjointe du Kraken de Seattle, Jessica Campbell, a joué les héroïnes en 2010 en marquant le but de la victoire qui a permis aux Canadiennes de monter sur la plus haute marche du podium à Chicago.
Fiche de tous les temps : les États-Unis mènent 13-9 (6-4 en prolongation/tirs de barrage) Buts pour le Canada : 48 Buts pour les États-Unis : 62
Aperçu du Mondial féminin des M18 : Canada c. Tchéquie
Samedi 11 janvier | 11 h 30 HE | Vantaa, Finlande | Demi-finale
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. TCHÉQUIE (11 JANV.)
Après une victoire historique en quart de finale, l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada se mesure à une rivale bien connue en demi-finale du Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF, où elle affrontera la Tchéquie samedi.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a marqué très tôt et très souvent jeudi, inscrivant sept buts dans chacune des deux premières périodes en route vers une victoire de 17-0 sur le Japon et égalant son record pour le nombre de buts en un seul match. Au cours des 16 premières éditions du tournoi, il n’est arrivé qu’à six occasions qu’une patineuse canadienne récolte cinq points dans un match. Pas moins de quatre joueuses l’ont fait contre les Japonaises, soit Stryker Zablocki (3-2—5), Maxine Cimoroni (3-2—5), Chloe Primerano (2-3—5) et Caileigh Tiller (2-3—5). Le Canada a fait mouche lors de ses quatre jeux de puissance, égalant le record du tournoi pour le nombre de buts en supériorité numérique dans un match, et a bombardé son adversaire de 76 tirs, contre 4 pour le Japon.
Les Tchèques ont accédé au carré d’as en blanchissant la Finlande au compte de 6-0 jeudi. Adela Fromova, Viktorie Jilkova, Dana Brezinova et Magdalena Felcmanova ont récolté un but et une aide chacune pour la Tchéquie, tandis que Daniela Novakova a repoussé les 18 tirs dirigés vers elle pour signer le jeu blanc.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les Canadiennes et les Tchèques se sont affrontées en fin de ronde préliminaire mardi, et la délégation canadienne s’est emparée de la première place du groupe B grâce à un gain de 5-0. Zablocki a mené la charge avec deux buts, Sydney Sawyer a inscrit un but et une aide, et Kate Viel a récolté deux mentions d’aide. Marilou Grenier a réussi le jeu blanc en bloquant 20 tirs, dont la moitié en troisième période.
À surveiller
Quelques autres records étant accessibles à Primerano, gardons les yeux sur la capitaine du Canada. Rappelons que la joueuse de North Vancouver, en Colombie-Britannique, est devenue plus tôt dans le tournoi la défenseure avec le plus haut total de points dans l’histoire du Mondial féminin des M18. Quelques autres marques importantes sont maintenant à sa portée. Avec ses cinq points contre les Japonaises (dont quatre au premier tiers, soit la cinquième période de quatre points pour une même joueuse dans l’histoire du tournoi), Primerano n’est qu’à un point de devenir la meilleure pointeuse de l’histoire de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans (elle est actuellement à égalité avec Caitlin Kraemer) et à trois points de dépasser l’incontournable Marie-Philip Poulin en tant que meilleure marqueuse canadienne de l’histoire du tournoi. Elle pourrait également surpasser Erin Ambrose pour le plus grand nombre d’aides dans l’histoire d’Équipe Canada (il lui en faut cinq). En bref, la routine pour Primerano depuis son entrée sur la scène internationale.
Mais les Tchèques souhaitent écrire une autre page d’histoire. Il y a un an, en demi-finale, les Tchèques avaient surpris la formation canadienne, qui avait pourtant brillé jusque-là; après avoir dominé ses adversaires 36-1 en quatre matchs, le Canada s’était incliné 4-2 face à la Tchéquie dans ce qui allait être l’une des plus grandes surprises de l’histoire du tournoi. Douze mois plus tard, 11 joueuses ayant participé à cette victoire sont de retour dans la délégation tchèque, bien que les trois joueuses qui avaient marqué lors du match et la gardienne de but Aneta Senkova (qui avait offert une performance remarquable de 45 arrêts) n’y sont pas cette année. La Tchéquie a atteint le carré d’as grâce à une offensive bien répartie en ses rangs. En effet, aucune joueuse n’a plus de quatre points, et neuf en ont au moins trois. Novakova ne chôme assurément pas devant le filet, ayant disputé chaque seconde de jeu pour les Tchèques. Elle présente une moyenne de buts alloués de 2,24 et un pourcentage d’arrêts de 0,919.
Rétrospective
Nous en serons au dixième duel entre les Canadiennes et les Tchèques. Huit des neuf rencontres précédentes ont été à l’avantage du Canada, qui domine la Tchéquie 65-9 au chapitre des buts marqués. Le seul revers était en demi-finale à Zoug l’an dernier.
Deux futures médaillées d’or olympiques s’étaient illustrées lors du premier affrontement de l’édition inaugurale du Mondial féminin des M18 : Marie-Philip Poulin et Natalie Spooner avaient chacune réussi un tour du chapeau dans un triomphe de 11-2 du Canada à Calgary. Poulin avait obtenu cinq points dans cette victoire, ce qui demeure l’une des six fois seulement où une Canadienne a atteint ce plateau dans l’histoire du tournoi.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 8-1 Buts pour le Canada : 65 Buts pour la Tchéquie : 9
Aperçu du Mondial féminin des M18 : Canada c. Japon
Jeudi 9 janvier | 13 h 30 HE | Vantaa, Finlande | Quart de finale
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. JAPON (9 JANV.)
L’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada amorce la ronde éliminatoire du Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF jeudi contre le Japon en quart de finale.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a conclu une ronde préliminaire parfaite en prenant la mesure de la Tchéquie au compte de 5-0 mardi. Stryker Zablocki a sonné la charge avec deux buts, Sydney Sawyer a récolté un but et une aide, et Marilou Grenier a repoussé 20 rondelles pour signer le jeu blanc. Chloe Primerano a écrit une autre page d’histoire dans la victoire : avec sa mention d’aide sur le deuxième but de Zablocki, la capitaine du Canada est devenue la défenseure avec le plus haut total de points dans l’histoire du Mondial féminin des M18 (19 points).
Les Japonaises ont subi un revers crève-cœur de 5-4 à leur dernier match de la phase préliminaire face aux Suédoises mardi. Koko Ruike et Nanaho Yamaguchi ont récolté un but et une aide chacune pour le Japon, qui a eu des avances de 3-1 en début de deuxième période et de 4-3 avec huit minutes à jouer sans trouver le moyen d’obtenir un premier gain au tournoi.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les Canadiennes et les Japonaises ne se sont affrontées qu’une seule fois au Mondial féminin des M18, lors du match d’ouverture du tournoi de 2014 à Budapest. Victoria Bach avait récolté deux buts et une aide, Sarah Potomak avait marqué une fois et participé à deux buts, et Lauren Wildfang avait accumulé trois aides pour les Canadiennes, qui avaient bombardé les Japonaises de 65 tirs contre 22 dans un triomphe de 7-1.
À surveiller
Zablocki a marqué trois buts en autant de matchs en ronde préliminaire, reprenant là où elle avait laissé il y a un an à Zoug, où elle a récolté sept points (2-5—7) en six parties au sein du contingent canadien qui a remporté une médaille de bronze. Entre les deux tournois, elle a accompli de grandes choses en 2024. L’athlète de Prince Albert a été nommée Joueuse par excellence de la Coupe Esso, terminant à égalité au sommet des meilleures pointeuses de la compétition avec 11 points (8-3—11) en sept rencontres pour mener les Rebels de Regina à leur premier titre national. De plus, elle a été nommée Meilleure avant du Championnat national féminin des M18, forte d’une récolte de cinq points (3-2—5) en six affrontements pour mener la Saskatchewan jusqu’au match pour la médaille de bronze.
Un vent de jeunesse souffle sur la formation japonaise, dont la moyenne d’âge est la moins élevée parmi toutes les équipes au tournoi à Vantaa. Seules deux joueuses – la gardienne de but Haruka Kuromaru et l’attaquante Hina Fukuyama – en sont à leur dernière année d’admissibilité chez les moins de 18 ans, ce qui signifie qu’un nombre impressionnant de 21 joueuses pourraient revenir en 2026 (en comparaison, le Canada en compte 15 qui terminent leur parcours dans ce groupe d’âge). L’offensive de la troupe asiatique a été plutôt timide; seulement six buts ont été inscrits en trois parties, dont quatre contre la Suède (et trois de ces buts ont été marqués en un plus de six minutes en fin de première période et au début du deuxième engagement). Nana Akimoto, l’une des 11 joueuses de 15 ans du Japon, a été la seule patineuse à toucher la cible plus d’une fois (avec deux filets).
Rétrospective
Comme indiqué précédemment, il n’y a eu qu’une seule rencontre entre les deux pays, il y a 11 ans, en Hongrie.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 1-0 Buts pour le Canada : 7 Buts pour le Japon : 1
Aperçu du Mondial féminin des M18 : Canada c. Tchéquie
Mardi 7 janvier | 13 h 30 HE | Vantaa, Finlande | Ronde préliminaire
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. TCHÉQUIE (7 JANV.)
L’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada conclut sa ronde préliminaire mardi au Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF avec un duel contre la Tchéquie où la première place du groupe B sera à l’enjeu.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a porté sa fiche à deux victoires en autant de jours dimanche grâce à un gain de 5-1 contre la Suisse. Dorothy Copetti a mené l’offensive avec deux buts pour les Canadiennes, qui ont pris les commandes de la rencontre en marquant quatre fois en deuxième période. Sara Manness a connu une deuxième performance de deux points de suite en récoltant un but et une aide, et Maxine Cimoroni a ajouté deux aides. Chloe Primerano a compté son deuxième but du tournoi, rejoignant ainsi Jincy Dunne et Brigette Lacquette parmi les défenseures ayant inscrit le plus de buts dans l’histoire du Mondial féminin des M18.
Les Tchèques sont demeurées invaincues en doublant la Slovaquie 6-3 au pointage dimanche. Linda Vocetkova a frappé deux fois au premier engagement – sur deux des 23 tirs de la Tchéquie décochés pendant la période initiale –, tandis que Barbora Proskova a obtenu un but et deux aides pour aider les Tchèques à effacer un déficit de 3-2 au deuxième tiers.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les Canadiennes et les Tchèques ont croisé le fer l’année dernière en demi-finale à Zoug, et la Tchéquie avait causé la surprise en l’emportant 4-2, un premier gain sur le Canada au hockey féminin international, toutes catégories confondues. Primerano et Stryker Zablocki avaient marqué pour permettre aux Canadiennes de combler un déficit de deux buts en début de troisième période, mais ce fut tout pour la délégation canadienne, qui avait amorcé le match avec une fiche parfaite et une domination de 35-1 sur ses adversaires dans la colonne des buts et qui allait ainsi manquer le match pour la médaille d’or pour la première fois de son histoire.
À surveiller
Sara Manness joue du hockey de haut niveau sur le premier trio du Canada, elle qui affiche un but et trois aides après deux matchs, ce qui la place au deuxième rang parmi les meilleures pointeuses du tournoi, aux côtés de sa compagne Maxine Cimoroni. Joueuse par excellence du Championnat national féminin des moins de 18 ans 2023, Manness prend toutes ses aises sur la scène internationale à Vantaa. Avant le tournoi en Finlande, elle ne comptait que six points en 14 parties pour le Canada, mais elle a amassé une aide dans le gain en match préparatoire contre le pays hôte, deux aides dans la victoire en lever de rideau contre la Slovaquie et un but et une aide contre les Suisses. Et le tout en compagnie de Kate, sa sœur jumelle. Les sœurs sont la cinquième paire issue de la même famille immédiate à représenter le Canada au Mondial féminin des M18, mais les premières à le faire en même temps.
Du côté des Tchèques, c’est Julia Jebouskova qui a pris les choses en main à l’attaque. La joueuse de 16 ans, qui avait été écartée de la feuille de pointage au fil de ses six matchs du Mondial féminin des M18 l’année dernière, a marqué le but gagnant en prolongation lors du premier match du tournoi contre la Suisse, avant d’inscrire un but et une aide pour permettre à la Tchéquie de creuser l’écart contre la Slovaquie dimanche. Jebouskova fait flèche de tout bois cette saison au sein du programme des M19 à Shattuck-St. Mary’s, au Minnesota, forte d’un total de 22 buts (et de 12 aides) en 25 rencontres.
Rétrospective
Nous en serons au neuvième duel entre les Canadiennes et les Tchèques. Sept des huit rencontres précédentes ont été à l’avantage du Canada, qui domine la Tchéquie 60-9 au chapitre des buts marqués.
Deux futures médaillées d’or olympiques s’étaient illustrées lors du premier affrontement de l’édition inaugurale du Mondial féminin des M18 : Marie-Philip Poulin et Natalie Spooner avaient chacune réussi un tour du chapeau dans un triomphe de 11-2 du Canada à Calgary. Poulin avait obtenu cinq points dans cette victoire, ce qui demeure l’une des cinq fois seulement où une Canadienne a atteint ce plateau dans l’histoire du tournoi.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 7-1 Buts pour le Canada : 60 Buts pour la Tchéquie : 9
Aperçu du Mondial féminin des M18 : Canada c. Suisse
Dimanche 5 janvier | 13 h 30 HE | Vantaa, Finlande | Ronde préliminaire
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. SUISSE (5 JANV.)
Après une victoire en lever de rideau, l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada reprend déjà l’action dimanche au Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF, cette fois contre la Suisse, dans un duel au sein du groupe B.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a amorcé la ronde préliminaire avec un gain de 6-2 contre la Slovaquie samedi. Malgré une domination de 60-7 en faveur du Canada dans la colonne des tirs au but, c’était l’égalité à 2-2 avant la troisième période, où les défenseures de la Colombie-Britannique Danica Maynard et Chloe Primerano ont fait mouche à 2 min 11 s d’intervalle afin d’ouvrir les vannes pour l’attaque canadienne. Maxine Cimoroni a récolté un but et une aide, tandis que Sara Manness et Caileigh Tiller ont ajouté deux aides chacune.
La Suisse a perdu une bataille âprement disputée dans son premier match, s’inclinant 2-1 aux mains de la Tchéquie samedi. Sonja Inkamp a donné les devants à la Suisse après sept minutes de jeu en troisième période, mais les Tchèques ont nivelé le pointage avec 2 min 08 s à jouer, pour ensuite l’emporter en prolongation. Amaya Iseli a brillé devant son filet grâce à une performance de 36 arrêts.
Dernière rencontre entre les deux équipes
C’est à Zoug, il y a un an, que le Canada avait triomphé par la marque de 6-0 contre la Suisse, alors équipe hôte du tournoi. Sienna D’Alessandro avait inscrit deux buts, Gracie Graham avait obtenu un but et deux aides, et Primerano avait poursuivi sa chasse aux records avec trois mentions d’aide. Rhyah Stewart n’avait eu à repousser que trois tirs, puisque le Canada avait terminé avec un écrasant avantage de 54-3 à ce chapitre.
À surveiller
Cimoroni était membre de la formation canadienne qui a remporté la médaille de bronze il y a un an, accumulant trois points en six matchs pour aider les Canadiens à monter sur le podium. La joueuse native de Toronto a presque égalé cette récolte en première période samedi, préparant le premier but du Canada inscrit par Hayley McDonald, avant de toucher la cible à son tour en fin d’engagement. Cimoroni, qui s’est engagée à jouer pour l’Université Ohio State, connaît une saison remarquable. Après avoir mené le Canada avec cinq points (2-3—5) dans la série estivale de trois matchs contre les États-Unis, elle s’est vu décerner le titre de Joueuse la plus utile à son équipe au Championnat national féminin des moins de 18 ans en novembre, où ses efforts ont aidé Ontario Rouge à gagner une autre médaille d’or. En outre, elle pointe au cinquième rang parmi les meilleures pointeuses au hockey M22 élite de l’OWHA, affichant un rendement de 32 points (17-15—32) en 20 matchs avec les Hurricanes de Mississauga.
Il était difficile de ne pas remarquer Inkamp samedi, ne serait-ce que parce qu’elle semblait ne jamais quitter la glace. La défenseure suisse a joué pendant 29 min 10 s lors de la défaite en prolongation de son équipe contre les Tchèques, soit presque deux minutes de plus que toute autre patineuse. De retour pour son troisième Mondial féminin des M18, Inkamp a passé une partie des deux dernières saisons dans la Women’s League, le circuit au calibre le plus relevé en Suisse. Ell a porté les couleurs du HC d’Ambri-Piotta la saison dernière avant de disputer six rencontres avec les ZSC Lions cette année. Inkamp s’avère notamment une denrée quelque peu rare au sein de l’équipe suisse : elle est née en 2007. La Suisse possède l’une des formations les plus jeunes du tournoi, avec seulement neuf joueuses nées en 2007. Il n’y a que le Japon qui en compte moins, soit deux.
Rétrospective
Ce n’est qu’un cinquième duel entre les Canadiennes et les Suisses, dont un quatrième en ronde préliminaire. Le Canada montre une fiche parfaite de quatre victoires, dominant la Suisse 44-3 au pointage.
Le premier affrontement avait eu lieu lors du tournoi de 2009 en Allemagne. Casandra Langan avait marqué l’histoire en devenant la première Canadienne à compter quatre buts dans un match dans le cadre d’un gain de 16-1. Jamie Lee Rattray avait quant à elle réussi un tour du chapeau, et Jessica Wong avait obtenu deux buts et une aide.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 4-0 Buts pour le Canada : 44 Buts pour la Suisse : 3
Aperçu du Mondial féminin des M18 : Canada c. Slovaquie
Samedi 4 janvier | 13 h 30 HE | Vantaa, Finlande | Ronde préliminaire
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. SLOVAQUIE (4 JANV.)
La quête d’une huitième médaille d’or au Championnat mondial féminin des moins de 18 ans de l’IIHF commence samedi, tandis que l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada amorcera l’édition 2025 du tournoi contre la Slovaquie au Tikkurila Arena.
Dernier match de chaque équipe
L’équipe canadienne a vaincu la Finlande, pays hôte du championnat mondial, par la marque de 7-0 au jour de l’An en préparation du tournoi. Stryker Zablocki a mené la charge à l’offensive en récoltant deux buts et une mention d’aide, Kate Manness et Sofia Ismael ont ajouté un but et une aide chacune, et Marilou Grenier (14 arrêts) et Amelia Wilkinson (3 arrêts) ont uni leurs efforts pour signer le jeu blanc.
Le dernier match disputé par les Slovaques remonte au 15 décembre, un revers de 3-2 subi aux mains de la Hongrie en conclusion du Tournoi des quatre nations à Füssen, en Allemagne. Blanka Bereczkiova et Vanessa Eibenova ont marqué pour la Slovaquie, qui n’était qu’à quatre minutes de remporter le titre avant de voir les Hongroises s’imposer en fin de rencontre.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Le Canada et la Slovaquie ne se sont affrontés qu’une seule fois, en quart de finale du Mondial féminin des M18 en 2022. L’offensive canadienne était bien répartie lors de ce duel au Wisconsin; sept joueuses avaient touché la cible et quatorze avaient participé au pointage dans une victoire de 7-0 des Canadiennes. Quatre patineuses – Madison Chantler, Ava Murphy, Karel Préfontaine et McKenna Van Gelder – avaient amassé un but et une aide chacune, et il avait suffi de cinq arrêts à Mari Pietersen pour signer le blanchissage.
À surveiller
En deux mots, Chloe Primerano. Celle qui vient de souffler ses dix-huit bougies jeudi s’est dévoilée à la planète hockey en marquant un but de toute beauté en tirs de barrage pour procurer à l’équipe nationale féminine du Canada une victoire lors du deuxième match de la Série de la rivalité en novembre dernier. De retour avec les M18, elle peut maintenant reprendre son assaut du livre des records canadiens, elle qui est déjà la défenseure avec le plus haut total de points dans l’histoire de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans. La mention d’aide obtenue lors du match préparatoire la rapproche à huit points de Caitlin Kraemer au sommet des pointeuses et à sept aides de la marque établie par Erin Ambrose. La joueuse originaire de North Vancouver, en Colombie-Britannique, pourrait aussi surpasser Marie-Philip Poulin en tête des pointeuses dans l’histoire du Canada au Mondial féminin des M18 (elle avait conclu le tournoi de l’an dernier au premier rang avec une récolte de 16 points). Par ailleurs, elle n’est qu’à trois points de devenir la meilleure pointeuse parmi les défenseures dans l’histoire du tournoi; pour l’heure, seules Brigette Lacquette et Jincy Dunne la devancent.
Le clan slovaque compte lui aussi une surdouée dans ses rangs. Nela Lopusanova, qui en sera à sa troisième participation au Mondial féminin des M18, avait fait une entrée en scène fracassante à l’âge de 14 ans en 2023 , remportant le titre de Joueuse par excellence. Elle avait conclu le tournoi au premier rang avec pas moins de 12 points (9-3—12) en 5 rencontres, montrant toute l’étendue de son talent en inscrivant notamment un but de type « Michigan » contre la Suède. En décembre dernier, Lopusanova y est allée d’une performance dominante lors du tournoi de qualification olympique à domicile, dans la ville de Piestany. Elle a aidé la Slovaquie à atteindre la dernière étape de qualification après avoir inscrit 18 points – dont 11 buts – en seulement trois parties. Cela comprend notamment deux matchs de quatre buts lors de victoires contre le Kazakhstan et la Slovénie. Celle qui poursuivra son parcours à l’Université du Wisconsin à compter de la saison 2026-2027 évolue actuellement à l’école secondaire Bishop Kearney de Rochester, dans l’État de New York, aux côtés entre autres de l’avant canadienne Stryker Zablocki. Ah oui, petit détail : elle sera admissible à une autre édition du Mondial féminin des M18 en 2026.
Rétrospective
Tout a essentiellement été dit, le Canada ayant remporté le seul duel entre les deux nations.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 1-0 Buts pour le Canada : 7 Buts pour la Slovaquie : 0
Dévoilement de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans pour le Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF
24 joueuses lutteront pour la médaille d’or en Finlande à compter du 4 janvier
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a annoncé les 24 joueuses qui porteront l’unifolié au sein de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada au Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF, qui se déroulera du 4 au 12 janvier à Vantaa, en Finlande. Trois gardiennes de but, sept défenseures et quatorze avants ont été sélectionnées par la première responsable du dépistage et du développement des joueuses, Cherie Piper (Scarborough, ON), l’entraîneuse-chef Vicky Sunohara (Scarborough, ON/Université de Toronto, SUO), l’entraîneur adjoint Marc-André Côté (Montréal, QC/Université de Moncton, SUA) et l’entraîneuse adjointe Stefanie McKeough (Carlsbad Springs, ON/Boston, LPHF). L’entraîneur des gardiennes de but Sheldon Goertzen (Saskatoon, SK/Université de la Saskatchewan, CW) a également participé au processus de sélection. Parmi les 24 joueuses, cinq ont remporté une médaille de bronze au Championnat mondial féminin des M18 2024 de l’IIHF (Cimoroni, Grenier, Sara Manness, Primerano, Zablocki) et 19 ont représenté le pays dans une série de trois matchs contre les États-Unis en août (Bertelsen, Cimoroni, Copetti, Grenier, Ismael, Sara Manness, Maynard, McCullough, McDonald, Piggott, Primerano, Sawyer, Sorokan, Therien, Tiller, Tremblay, Viel, Wilkinson, Zablocki). « Je suis vraiment reconnaissante de cette occasion de travailler avec un groupe formé de jeunes athlètes au talent exceptionnel et un personnel dévoué pour le championnat mondial en janvier et de lutter pour une médaille d’or en Finlande, a exprimé Sunohara. Nous avons une équipe de joueuses très compétitives qui sont fières de représenter le Canada, et l’ensemble des membres du personnel entraîneur a hâte de réunir tout le monde et de continuer de jeter les bases de ce qu’il faut pour porter les couleurs d’Équipe Canada. » Le Canada jouera dans le groupe B, aux côtés de la Slovaquie, de la Suisse et de la Tchéquie, tandis que le groupe A sera formé des États-Unis, de la Finlande, du Japon et de la Suède. Les Canadiennes amorceront le tournoi contre les Slovaques le 4 janvier. Elles croiseront également le fer avec les Suissesses le 5 janvier et les Tchèques le 7 janvier. Toutes les rencontres commenceront à 13 h 30 HE / 10 h 30 HP. Avant le tournoi, le Canada affrontera la Finlande dans un match hors concours à 6 h 30 HE / 3 h 30 HP au Tikkurila Arena de Vantaa. « Cette formation représente les fondements du Programme national féminin, et nous avons hâte de voir ces jeunes athlètes défendre fièrement les couleurs de notre pays en Finlande, a commenté Piper. Derrière une sélection à Équipe Canada, il y a des années de travail ardu et de dévouement. Notre personnel est immensément fier de la progression de ces joueuses, et ce sera un plaisir de les voir évoluer au fil de leur carrière au hockey. » L’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada sera en quête d’une première médaille d’or au Championnat mondial féminin des M18 de l’IIHF depuis 2023. Elle a remporté l’or à sept reprises (2010, 2012, 2013, 2014, 2019, 2022, 2023), l’argent à sept occasions (2008, 2009, 2011, 2015, 2016, 2017, 2020) et le bronze deux fois (2018, 2024). TSN et RDS, partenaires officiels de diffusion de Hockey Canada, présenteront 14 matchs pendant le tournoi, y compris tous ceux d’Équipe Canada en ronde préliminaire, de même que les quatre quarts de finale et les deux demi-finales ainsi que les matchs de la ronde des médailles. Veuillez consulter la programmation locale pour en savoir plus. Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada, veuillez visiter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux Facebook, X, Instagram et TikTok.
Annonce de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans pour la série contre les États-Unis
Équipe Canada affrontera les Américaines lors d’une série de trois matchs, du 14 au 17 août à Thorold, en Ontario
THOROLD, Ontario – Hockey Canada a dévoilé la formation de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada en vue d’une série de trois matchs contre les États-Unis, qui se déroulera du 14 au 17 août au Canada Games Park. Elles seront vingt-trois – trois gardiennes de but, sept défenseures et treize avant – à porter l’unifolié pour l’occasion. La formation comprend cinq joueuses (Cimeroni, Grenier, Manness, Primerano, Zablocki) qui ont gagné la médaille de bronze au Championnat mondial féminin des M18 2024 de l’IIHF à Zoug, en Suisse. L’équipe a été sélectionnée par Dylan Rockwell (Calgary, AB), premier responsable des activités hockey, et par Cherie Piper (Scarborough, ON), première responsable du dépistage et du développement des joueuses. L’entraîneuse-chef Vicky Sunohara (Scarborough, ON/Université de Toronto, SUO), l’entraîneur adjoint Marc-André Côté (Montréal, QC/Université de Moncton, SUA) et l’entraîneuse adjointe Stefanie McKeough (Carlsbad Springs, ON/Boston, LPHF), de même que l’entraîneur des gardiennes de but Sheldon Goertzen (Saskatoon, SK/Université de la Saskatchewan, CW), ont également participé au processus de sélection. « Nous avons formé un groupe très solide, a commenté Sunohara. Ça promet pour la série contre les États-Unis. Les joueuses le savent, l’objectif consiste à s’améliorer constamment, et nous avons vu une belle progression durant le camp de sélection. Cette série est une excellente occasion de développer nos joueuses et de les préparer aux compétitions internationales à venir plus tard dans la saison. » L’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada ainsi que l’équipe nationale féminine de développement du Canada se mesureront aux Américaines les 14, 15 et 17 août. Tous les matchs des M18 commenceront à 16 h HE / 13 h HP, tandis que ceux de l’équipe de développement débuteront à 19 h 30 HE / 16 h 30 HP. Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et le Programme national féminin du Canada, veuillez visiter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux Facebook, X et Instagram.
Formations pour le camp de sélection de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans et la série contre les États-Unis de l’équipe nationale féminine de développement
Le camp de sélection des M18, présenté par BFL CANADA, aura lieu du 5 au 11 août à Thorold, en Ontario
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a dévoilé les formations pour le camp de sélection de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada, présenté par BFL CANADA, et la série de trois matchs contre les États-Unis de l’équipe nationale féminine de développement du Canada. Quarante-six joueuses – 6 gardiennes de but, 14 défenseures et 26 avants – ont été invitées au camp de sélection des M18, qui se déroulera du 5 au 11 août au Canada Games Park de Thorold, en Ontario. La formation comprend cinq joueuses (Cimeroni, Grenier, S. Manness, Primerano, Zablocki) qui ont gagné la médaille de bronze au Championnat mondial féminin des M18 2024 de l’IIHF à Zoug, en Suisse. La semaine de camp, qui sera composée de séances d’entraînement sur glace et hors glace, comportera aussi trois matchs Rouges c. Blancs du 7 au 10 août. Après la sélection des joueuses, Équipe Canada jouera une série de trois matchs contre les États-Unis du 14 au 17 août au Canada Games Park de Thorold. « Le camp de sélection est une étape essentielle qui se veut le premier arrêt au sein de notre programme pour ce groupe d’athlètes talentueuses », a affirmé Vicky Sunohara (Scarborough, ON/Université de Toronto, SUO), entraîneuse-chef de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada. « Les membres du personnel entraîneur et du personnel de soutien ont hâte d’encadrer et de développer ces joueuses. On s’attend à un niveau de compétition relevé pendant le camp parmi ces athlètes qui se battent pour l’honneur de représenter le Canada sur la scène internationale pendant la série et la saison. » Vingt-quatre joueuses – 3 gardiennes de but, 8 défenseures et 13 avants – ont été nommées à l’équipe nationale féminine de développement du Canada pour sa série de trois matchs contre les États-Unis du 14 au 17 août au Canada Games Park. La formation comprend 10 joueuses (Adam, Amos, Baxter, Grober, Iginla, MacLeod, Murphy, Pais, Regalado, Swiderski) qui ont remporté l’or au Championnat mondial féminin des M18 2022 de l’IIHF à Madison, au Wisconsin, et neuf joueuses (Alexander, Amos, Baxter, Graham, Grober, Kraemer, Murphy, Pais, Venusio) qui en ont fait autant à l’édition 2023 du même tournoi à Östersund, en Suède. « Nous sommes emballées par la liste d’athlètes qui se joignent à nous au sein de l’équipe de développement cette année pour compétitionner à nouveau à l’international contre les États-Unis », a déclaré Alison Domenico (Ottawa, ON/Université d’Ottawa, SUO), entraîneuse-chef de l’équipe nationale féminine de développement du Canada. « Notre personnel entraîneur attend impatiemment l’occasion de travailler avec ce groupe, qui compte un bon mélange de joueuses de retour et de nouveaux visages, tandis que nous nous poursuivons leur développement sportif dans notre programme. » Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et le Programme national féminin du Canada, veuillez visiter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux Facebook, X et Instagram.
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Jeremy Knight
Responsable, communications organisationnelles
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(647) 251-9738
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